Jour 100 !!!


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December 25th 2008
Published: December 25th 2008
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Les bateaux en attente en dehors de No Name HarborLes bateaux en attente en dehors de No Name HarborLes bateaux en attente en dehors de No Name Harbor

On en compte 17 ce soir. Demain il n'en restera que 6...
Jour 100
Vendredi 19 décembre. Nous sommes enfin arrivés au soleil et à la chaleur, notre premier objectif.
Ce matin, Kai Keiki quitte la marina et s’en va à No Name Harbor.
Nous prenons nos vélos et après le lunch en ville avec l’internet, nous allons voir à quoi ressemble ce point de rassemblement des bateaux en partance pour les Bahamas. Nous comptons 21 bateaux dans le havre du parc (No Name Harbor) et 17 à l’extérieur. Il y a là entre autres Désirada, Callisto, Chenou, Mon Île, Kai Keiki, Alto…. Nous assistons à la fin du caucus de navigation sur Désirada.
À 16h45, nous les quittons avec un nuage gris sur le cœur. Nous sommes jaloux de leur chance de voyager en groupe et avec une fenêtre superbe (peu de vent et pas de vagues…) Nous nous demandons s’il y aura encore du monde pour traverser à la fin de janvier.

Nous aurons un mois devant nous pour finaliser notre grande préparation avant de quitter le continent.
Nous aurons également de la visite : Michel et Claudine fêterons le Nouvel An avec nous, et, par la suite, Delphine avec Manu et Luca viendront naviguer dans les Keys. Heureusement d’ailleurs
Les bateaux en attente dans No Name HarborLes bateaux en attente dans No Name HarborLes bateaux en attente dans No Name Harbor

On en compte 21 ce soir. Le lendemain, nous reviendrons voir, il n'en restera que 9... Tous partis aux Bahamas!
que nous aurons de la visite; demain, tous nos bateaux copains auront traversé aux Bahamas. Nous, ce ne sera pas avant la fin de janvier…

*****

J’ai décidé qu’à partir de demain, je ne compterai plus les jours.
Il aura fallu cent jours pour compléter le prélude à notre grand voyage. À partir d’ici, ce sera autre chose.

Jean-Pierre et moi réalisons qu’Absaroque est désormais notre maison et que nous n’avons plus à courir après quelque chose; nous n’avons plus à toujours aller plus loin, là bas. Si nous sommes bien quelque part, nous y resterons; et cela, le temps qu’il nous plaira.




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