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Published: December 28th 2015
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Pour nos derniers jours à Zanzibar, direction la plage de Makunduchi située à environ 70 km de Stone Town. Notre point de chute est l’hôtel « La Madrugada », où nous arrivons jeudi en début d’après-midi. L’accueil est impeccable, le cadre spacieux et bien entretenu ; l’hôtel dispose de 2 piscines, 1 restaurant, 1 bar, 1 magasin et de nombreux espaces détente.
Arrivés dans notre chambre, les 1ers motifs d’insatisfaction apparaissent : pas de connexion internet et toilettes non fonctionnelles. De plus, un tour à la salle de sports finit d’accentuer la déception : aucun des équipements disponible n’est en bon état de marche. Quant à la plage, elle dévoile de nombreux galets et le niveau de l’eau est très bas du fait de la marée basse.
Après échanges avec le manager et de l’équipe de la réception, nous finissons par changer de chambre, ce qui résout nos 2 premiers griefs. Rien à faire pour la salle de sport, il faudra s’en passer. Ces désagréments passés, nous décidons de profiter au mieux de cette fin de séjour dédiée au farniente. Les repas du restaurant sont copieux, les cocktails bons, et le personnel efficace et super sympa.
Le vendredi
matin, nous découvrons la plage sous un nouveau visage : en marée haute, elle n’a rien à voir avec la veille et est magnifique. L’après-midi est l’occasion de piquer une tête dans la piscine. Le soir, l’hôtel propose un buffet autour de la piscine principale, accompagné de musiques et danses locales.
Samedi, nous allons à la découverte d’un petit village à une demi-heure de marche, afin d’y faire quelques achats. Puis je m’essaye, avec l’aide de Julien, à l’apprentissage du vélo. Une catastrophe…
Il n’y a aucune église à proximité, pas de messe pour moi ce dimanche. Nous retentons l’expérience « apprentissage vélo », sans beaucoup plus de succès que la veille. J’ai un peu plus d’équilibre, mais toujours autant peur de tomber. Le soir, l’hôtel organise un diner avec des plats locaux ; pour l’animation ils ont fait appel à un groupe de danse qui nous propose également différents spectacles (contorsionniste, pose avec un gros serpent autour du cou) et chants.
Le lundi matin, nous allons à la plage et constatons que contrairement à la semaine précédente, c’est la marée basse. Nous dédions le reste de la journée à la piscine, aux jeux et au visionnage
de film. C’est également l’occasion de sympathiser avec d’autres jeunes touristes.
Mardi soir, l’hôtel organise un repas discothèque sur la plage. C’est la dernière soirée pour plusieurs touristes ; l’ambiance est bonne enfant, plusieurs jeunes du village se déhanchent avec les touristes sur la piste de danse éphémère.
Mercredi, check-out à 10h et nous avons rendez-vous à 13h30 avec le chauffeur qui doit nous conduire à l’aéroport. Nous faisons nos aurevoirs au personnel de l'hôtel après le déjeuner, et tentons en vain d’imprimer nos visas électroniques pour l’Inde depuis la réception. Nous prévoyons donc un arrêt sur le chemin pour le faire.
Notre chauffeur est ponctuel, mais victime d’une galère mettant son véhicule H.S. à proximité de l’hôtel. Il fait appel à un ami à lui, chargé de nous conduire à bon port. C’est le cas, malgré une crevaison 17 km après le départ de l’hôtel. Ayant pris de la marge au départ, nous arrivons à l’aéroport 2h avant notre vol pour New Delhi. Fin de l’aventure tanzanienne :-).
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Fab
non-member comment
LOL
Je savais pas que tu ne savais pas faire du vélo, lol............... Bizzzz