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Published: April 20th 2018
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Ouf... j'ai survécu !!!! et finalement ce n'était pas si terrible que ca... Mais nous avons eu beauccoup de chance, car avant d'arriver au St Gothard nous n'avions pas énormément de trafic et juste avant de rentrer dans le tunnel Pollux a pu dépasser deux camions... Ceci fait, nous étions seuls avec personne devant nous, si ce n'étaient les voitures qui venaient en contre sens.... Petit à petit les kilomètres passaient et finalement nous sommes en effet arrivés à nos presque 17 km pour découvrir des bords de routes et des montagnes bien eneignées... Les panneaux nous avaient en effet indiqués tout le long de la route que tous les cols étaient fermés... Le St Gothard étant gratuit, nous avons épargné des sous mais aussi du temps et surtout de la sécurité !
Alors nous voici arrivés rapidement à la frontière italienne mais en passant tout d'abord par Locarno, petite ville sympa où un policier nous a vite fait déguerpir de notre parking où nous prenions notre déjeuner... Nous avions bien mis notre ticket, mais non : out... Comme la rue était à sens unique nous l'avons continuée jusque tout au bout où c'est devenu un cul de sac et
où il n'y avait plus de park mètre donc possibilité d'y rester afin de terminer notre petite tartine... et qui voilà à la dernière bouchée... le flic à nouveau avec un grand sourire qui était content de nous voir ne déranger personne... et repartir, mais la vaisselle était déjà faite !!!! youpieee.
Nous sommes alors passés la frontière italienne avec une route qui longeait le Lac Majeur. Un peu étroite par moment mais arrivés à bon port à Cannobio nous avons trouvé un camping extra avec la place dominant le lac... Deux nuits de repos extra si ce n'est de 6h à 7h30 du matin où les frontaliers italiens partent travailler en Suisse... Des cygnes, des canards, des merles, des bouvreuils etc... tout pour nous distraire vu que nous sommes sans tv... on arrive pas à savoir pourquoi, donc son boîtier est reparti à l'usine avant notre départ et nous profitons de ce mois de voyage pour espérer le récupérer et donc récupérer nos programmes favoris pour le prochain voyage cet été. Pas grave, nous avons profité de lire et relire... de suivre nos émissions préférées en replay sur You tube ou Auvio et tout va bien...
Je
vous mets quelques photos et demain si l'occasion m'en donne je vous mettrai celles de Cannobio, petite ville bien sympa où nous avons dégusté avec plaisir une bonne glace italienne.... !
BUENA NOTICIA : sobreviví!!!! Y finalmente no fue tan malo... Pero teníamos mucha suerte, porque antes de llegar a Gotthard no teníamos mucho tráfico y justo antes de entrar en el túnel Pollux podía pasar a dos camiones... Asi que estábamos solos con nadie delante nuestro, si no fueran los coches que venian en la dirección contraria.... Poco a poco pasaron los kilómetros y finalmente llegamos: casi 17 km para descubrir los bordes de las carreteras y las montañas bien nevados... Las señales nos había mostrado en efecto a todo lo largo de la carretera que todos los pasos estaban cerrados... ¡ el St Gotthard no se paga, nosotros ahorramos dinero, pero también tiempo y sobre todo la seguridad!
Así que llegamos rápidamente a la frontera italiana primero pasando por Locarno, bonita ciudad pequeña donde un policía enseguida nos llevó lejos de nuestro aparcamiento donde comimos nuestro almuerzo... Teníamos bien puesto nuestro ticket, pero no: vayanse ¡ ... Como la calle era de una sola mano
continuamos hasta el final, donde esto se convirtió en una cul-de-sac y donde no había más maquina para pagar, 00así que la posibilidad de quedarnos para terminar de comer. El policia volvio de nuevo con una gran sonrisa y estaba contento de vernos no molestar a nadie... y ver que nos ibamos, pero los platos ya estaban limpios!!!! Youpieee
Luego pasamos la frontera italiana con una carretera que bordeaba el lago Maggiore. Un poco estrecha a veces, pero nos llevo bien a Cannobio Encontramos un camping extra con el lugar que domina el lago... Dos noches de descanso extra menos de 6:00 a 7:30 en la mañana cuando los trabajadores fronterizos italianos se van a trabajar en Suiza... y que hay mucho trafico, sobre todo de motos… Cisnes, patos, merlos, pinzones Etc... Todo para distraernos porque estamos sin TV... porque se ha roto algo antes de irnos y el la antena ya no encuentra a los programas. Asi que tenemos la esperanza de recuperarla y por lo tanto recuperar nuestros programas favoritos para el próximo Viaje este verano. Pero, aprovechamos la lectura y corrección de textos... para seguir nuestros programas favoritos en Replay On You Tube o Auvio mas
tarde. Todo anda bien y estamos felices ya que dentro de dos dias nos encontramos en Verbania con amigos….
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Did
non-member comment
En Suisse, vers l'Italie
Heureux que la claustrophobie redoutée dans le tunnel du Saint-Gothard ait été réduite au minimum. Le reportage photographique, toujours aussi bien réalisé, nous permet de vous suivre à la trace à travers villes, villages et paysages typiques de la région. Toutefois, permets-moi de revenir sur la cinquième photo affichée dans le texte en préambule et intitulée Lugano ; il me semble que cette photo a été prise à Lucerne, plus précisément sur le "Seebruecke" enjambant le Reuss et situé tout à côté du célèbre "Kapellbrücke". Par ailleurs, en vous rendant à Weggis, vous êtes vraisemblablement passé par Küssnacht, lieu de triste mémoire pour la famille royale belge. C'est, en effet, en cet endroit que la reine Astrid, épouse du roi Léopold III, perdit la vie à 29 ans dans un accident de voiture, laissant trois orphelins : Joséphine-Charlotte (qui a épousé le grand-duc Jean de Luxembourg), le futur roi Baudouin et Albert II qui a succédé à son frère. Ce nom, Küssnacht, évoqué lors d'un cours d'Histoire, est très probablement resté dans la mémoire des jeunes élèves d'une classe dont j'étais, car un petit rigolo l'avait maladroitement traduit par "baiser vespéral". Si cela avait fait rire les copains de manière coquine, l'instituteur s'était passé lentement la main sur le visage comme pour contenir une grosse colère avant d'envoyer le trublion dans un coin de la classe, agenouillé sur une règle en métal tout en soutenant à bout de bras un gros dictionnaire (un genre de sévices encore assez courants dans les années '50).