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Published: April 19th 2016
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Et nous y voici... l'Atlantique et l'espagnol... tout un bonheur pour moi...
Notre premier arrêt sera Zumaia, une petite ville sur la carte, mais une plus grande quand on y est… Malheureusement ou heureusement, le matin je suis distraite et m’assied sur mes lunettes… un verre de sorti de son cadre et une monture assez défoncée… Je dis heureusement car cela nous permettra de nous promener durant quelques minutes dans le coin de l’opticien… Beau !
Revenons-en à notre passage de la frontière franco-espagnole. Pas grand-chose à y voir si ce n’est qu’on entre sur un impressionnant réseau autoroutier que nous quitterons dès que possible. Laredo nous donnera quelques minutes pour nous souvenirs que nous sommes venus ici durant une semaine, dans l’appartement des parents d’une amie de Tours (Merci Danielle si tu lis ceci…), car PA avait été sélectionné pour un concours de golf à Santander.
Après avoir visualisé où nous nous installerons pour la nuit, Comillas nous a tellement surpris à notre arrivée, que nous décidons d’aller visiter cette petite ville avant la tombée du jour ! Extraordinaire… du jamais vu, du jamais cru... On découvre tout d’abord d’énormes complexes religieux… Quand je dis énorme, vous
jugerez par les photos. J’apprendrai très vite qu’il s’agit pour le premier bâtiment de l’ancienne Université pontificale : style Néogothique Mudejar moderniste… nous n’avons pu ou n’avons pas voulu aller visiter tout l’intérieur car cela prendrait un temps fou… Maintenant c’est une université où l’on apprend l’espagnol tout simplement… Et dire qu’on me l’a appris en un mois seulement en étant en sixième primaire en Argentine!!!! En plus vous tournez la tête et là vous découvrez de l’autre côté de la vallée un autre édifice imposant qui est le Palais de Sobrellano.
Direction la vieille ville, nous trouvons et visitons le Caprice de Gaudi, bien entendu spécial, comme du Gaudi… Il utilise ici tout le temps, la fleur du soleil en plus d’éléments hispano-arabes.
Revenons-en à notre passage de la frontière franco-espagnole. Pas grand-chose à y voir si ce n’est qu’on entre sur un impressionnant réseau autoroutier que nous quitterons dès que possible. Laredo nous donnera quelques minutes pour nous souvenirs que nous sommes venus ici durant une semaine, dans l’appartement des parents d’une amie de Tours (Merci Danielle si tu lis ceci…), car PA avait été sélectionné pour un concours de golf à Santander.
A Bilbao
je suggère un petit passage dans cette ville par la côte longée de magnifiques bâtiments. Malheureusement un sens unique nous empêchera d’aller au bout de la jetée…
Il fait encore beau, mais les gros nuages se présentent devant nous pour la prochaine étape qui sera pour demain ! bonne route !
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Claire
non-member comment
jolie la chaise d'amour!
Les façades sont moins gaies de ce côté-là. Mais les balcons sont particulièrement bien travaillés. Comique cette maison avec la date de 1894! Comillas = ? est-ce une mairie? Bonne route les "Pollux" - la route est encore longue sans doute.