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Published: January 28th 2013
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Aujourd’hui, le 21 janvier. Hé… nous sommes arrivés ici le 20 décembre, ça fait déjà un mois!! On ne le croirait pas.
Nous avons eu la belle visite d’André et de Roseline au cours de laquelle nous avons découvert quelques-unes des « 37 » plages de l’île. Nous n’avons malheureusement pas pu naviguer avec eux, Absaroque a été confiné au lagon à cause des vagues et des vents puissants qui balayaient la région.
Depuis leur départ, il semble que nous n’ayons rien fait… Certes nous avons enfin reçu notre chargeur Xantrex « voyageur » ( il est passé par Paris et Puerto Rico) avec un nouveau panneau déporté (à notre grande surprise) car notre nouveau chargeur est de 2
e génération et donc n’est plus compatible avec le panneau déporté que nous avions acheté. Enfin, ne plus avoir à mettre le diesel en route pour l’électricité et le dessal! Notre joie fut cependant de courte durée, lors du test final avec la génératrice, c’est cette dernière qui a levé les bras!! Nous nous retrouvons donc dans la même situation : il faut toujours faire tourner le diesel…
Lors des grands vents du début janvier, nous avons voulu utiliser la
Décorations reçues de nos visites de l’an dernier
voyez un peu leur préoccupation… le ti-punch de 5 heure!! voile d’artimon pour empêcher le bateau de trop « éviter » dans le vent; à notre désagrément, il nous a été impossible de dérouler la voile, l’émerillon (le dispositif qui permet de monter la voile et de l’enrouler sans enrouler la drisse autour de l’enrouleur) était encore saisi. Nous avions eu à le désaisir à Ste-Lucie quand nous avions installé les voiles mais nous pensions le problème réglé. Afin de ne pas gaspiller le temps de nos invités, nous avions reporté l’étude du problème après leur départ. Il s’avère que cette pièce est très abimée : plus de roulements à bille en fonction, plus de coussinet entre la tige de l’enrouleur et l’émerillon… le remplacement, selon Rig-Rite, le fabricant, demanderait l’enlèvement de l’enrouleur de sa position actuelle (soit le descendre seul soit le descendre avec le mât ). Nous attendons donc un rendez-vous avec une firme de gréement, ça devrait venir cette semaine.
Nos amis de Cappuccino nous ont quittés pour les îles Vierges ce matin. Nous les avions vus en Martinique mais ils sont finalement arrivés sur St-Martin en même temps que nos invités. Nous avons passé du très bon temps ensemble à bavarder, boire, manger
Voilà tout ce qu’on l’on voit du « Faucon Maltais »
ses trois mâts caractéristiques. Il est mouillé dans Simson’s Bay. Notre corneille est à l’abri du faucon dans le lagon!! et marcher. Nous ne savons pas si nous les reverrons dans les îles, ils oscillent entre vendre leur bateau, remonter aux USA ou demeurer dans les Antilles... Il en est ainsi des gens de bateaux; leurs routes se croisent. Ont-elles des trajectoires convergentes à répétition? Seul le temps a la réponse. Il demeure cependant des images indélébiles et des amitiés fort agréables…
Nous allons donc tranquillement nous occuper de notre corneille et espérons que dans quelques semaines nous pourrons commencer notre exploration des îles voisines : Anguilla et St-Barth.
Nous espérons que tous vous profitez à plaisir du temps qui vous est donné.
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