Los Angeles - USA

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La sécurité de l'aéroport a été plus facile à traversée que je l'avais imaginée et j'étais fier de présenter mon visa aux douaniers après tant d'efforts fournis pour l'obtenir. C'est là qu'ils me disent que je n'ai pas besoin de visa; un tout autre discours que celui que l'ambassade américaine m'a tenu à Auckland et qui m'a fait payer CHF 160.- pour mes empreintes digitales, un autocollant et un tampon.

Une fois sortie de l'aéroport, notre mission était de louer une voiture et quand il y a trop de choix c'est pas une opération facile mais nous avons finalement trouver une Chrysler PT Cruiser, automatique bien évidemment. Oui, c'est la plus petite qu'on puisse louer. La première impression que nous avons c'est que tout est grand, tout est surdimensionné. Les routes, pleines de gros 4x4, sont larges et comptent souvent cinq ou six voies, voir plus. On a l'impression que le mot d'ordre ici est: plus c'est gros plus c'est beau.

On visite Disneyland. Le site comprend deux parcs d'attraction: Disneyland et California Adventure. Mais l'on décide de n'en faire qu'un pour limiter nos dépenses et l'on demande conseil à la vendeuse de billets qui nous aiguille vers Disneyland. Mais l'on se rend vite compte que c'est pour les gamins. Nous nous attendions à quelquechose du genre Europa Park à la puissance trois mais si tu as huit ans et demi et que tu passes ton temps à regarder les dessins animés alors Disneyland c'est le top. Bref, après deux heures, on avait fait le tour et réalisé que c'était pas pour nous et nous avons demandé à changer nos billets. Après cinq minutes de discussion, mentionnant que nous avons mal été conseillés à l'entrée et que nous étions en lune de miel, on a réussit à échanger nos billets et de profiter du deuxième parc: California Adventure. Finalement on a pris notre pied, notamment dans les montagnes russes, les bouées flottantes où tu resorts complétement trempé et l'ascenseur de l'Hôtel de la Terreur. La combinaison des deux parcs d'attraction nécessite une organisation importante, pour parquer et déplacer les milliers de visiteurs, dont notamment un system de tram et un parking gigantesque supposé être le plus grand du monde.

Los Angeles c'est immense et l'on a seulement pris le temps de découvrir une petite partie en commençant par Long Beach où l'on peut voir et visiter le Queen Mary. Ce dernier est plus grand que le Titanic mais il n'est plus en service, il est utilisé comme hôtel permanent et comme salle de spectacle. Ensuite on fait un saut sur la plage de Santa Monica puis on traverse Bervely Hills avec ses villas de millionnaires et ses alignées de palmiers. On continue sur Sunset Boulevard qui nous conduit directement à Hollywood. Le fameux signe sur la colline en arrière-plan en vaut la peine mais Hollywood Boulevard déçoit. Les rues sont pavées de quelques deux milles stars (célébrités) et c'est supposé être un bon coin pour voir des célébrités mais c'est, aujourd'hui, rempli de magasins de souvenirs et de clochards.

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Photos

Stan
Les trois quarts sont inconnus au bataillon mais celui-ci ne l'est pas. C'est le petit dans Laurel et Hardy