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Published: July 19th 2022
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Voila, nous sommes enfin arrivés à Los Angeles, après une journée compliquée à courir.
Cela a commencé a Roissy, pour trouver les comptoirs d’enregistrement de British Airways. En fait, ils sont « au sous-sol », et pas clairement bien indiqués. Heureusement, nous avions de la marge, mais c'était le premier stress de cette journée.
L’escale d’Heathrow c’est faite sans encombre, mais nous avons découvert que nous n’étions pas ensemble sur le vol pour Los Angeles. Mais après avoir embarqué, ma voisine de siège à bien voulu faire l'échange avec Sabi. Clément, lui, a fait le voyage seul.
Presque douze heures de vol, c’est vraiment long. Arrivés aux contrôles, on s’est retrouvé dans une interminable file d’attente où l’on a perdu presque deux heures pour juste une petite photo et un contrôle du passeport. Du coup, les bagages étaient arrivés et nous attendaient sagement à côté du tapis.
C’est là que les complications sont arrivées. Impossible de déterminer le lieu ou les navettes conduisant aux agences de location de voiture se situaient. Les panneaux montraient des directions opposées…, on a fini par trouver quand même et après trente minutes dans les embouteillages nous sommes arrivés à l’agence Fox Rent A Car pour prendre possession de notre voiture, il était déjà dix-huit heure trente. Malheureusement impossible de débiter ma carte, ni celles de Sabi…, après une heure de palabre dans un brouhaha infernal, on nous a conseillé de reprendre la navette pour l’aéroport puis d’en prendre une autre pour essayer une autre agence, ma réservation étant caduque…
Gros coup de stress, nous sommes à Los Angeles, sans voiture, notre hôtel à quatre-vingt kilomètres et la nuit tombe. Mon « pire » cauchemar. On monte dans une autre navette, direction le loueur Alamo, sans réservation ! Je prie pour qu’ils aient une voiture. A cette heure, il n’y a pas trop de monde , et dieu merci, ils en ont une. Par contre, on casse notre tire-lire, c’est le double de la réservation précédente. Mais il nous faut une voiture, c’est l'élément primordial de nos vacances.
Il fait nuit depuis un moment, on prend la route pour l’hôtel. On y arrive une heure plus tard sans s’être trop trompé sur les autoroutes, mais un peu quand même. Echaudés par nos mésaventures, on craint un moment de ne plus avoir de chambre, mais non, tout va bien à ce niveau, on va pouvoir goûter une bonne nuit de repos, plus que méritée et oublier cette journée. Cela fait des années que l’on loue des voitures pour les vacances, c’est la première fois qu’on un souci. Du coup, on n’a même pas dîné ce premier soir, mais bon, avec le jet lag, ca n’est pas bien grave.
Demain on prend la route 66, direction l’Arizona!
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