Westport et environs - Nouvelle Zélande

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Après le festival de nouvel'an, on a pris la direction de Westport qui sera le commencement de notre descente de la côte Ouest. Dans la traversée on s'arrête à Murchison qui semble être le seul coin acceptable pour s'arrêter dans un camping, recharger nos batteries (épuisées par le festival) et pour prendre une douche bien méritée. Mais on nous gare entre un arbre et une tente, on doit payer pour des douches qui ne fonctionnent qu'à moitié et à la fin du compte on finit par partir et en se faisant rembourser.

Le lendemain, visite d'un pont suspendu qui est sensé être le plus long de Nouvelle Zélande. Rien d'extraordinaire. Puis une heure de marche, complètement mouillés par la rosé de la végétation qui enconbre le sentier, pour arrivé aux Chutes de Ariki. Elles ont un nom qui fait bonne impression mais c'est plus des rapides que des chutes.

Westport n'a rien de particulier alors on décide de continuer notre chemin et de s'arrêter à Cape Foulwind qui acceuille une colonie de phoques. Presque aussi nombreux que les phoques, ce sont les wekas, une sorte de poulet sans aile, brun roux et très curieux. Le cape est frappé par de puissantes vagues et nous offre un couché de soleil magnifique. Quant le soleil se couche en Nouvelle Zélande, il se lève en Europe. Enfin si on veut être exact, il ne se couche jamais...

On roule vers le Sud et on s'arrête pour faire une balade en kayak. On pagaye pendant deux heures pour remonter la rivière et ses quelques rapides qui sont pas si facile à passer qu'ils n'en ont l'air. Le cadre est magnifique et l'eau, même brune, est très claire. Une femme qui descent la rivière se retourne dans un rapide et perd ses lunettes. Je me précipe pour l'aider, récupérer son kayak, sa pagaie, sa gourde et même son gillet de sauvetage (idiote de touriste qui sait mieux que les autres). Après avoir vidé son kayak on la laisser continuer son chemin sans lunettes. On a également décidés de redescendre la rivière et de se laisser emporter par le courant. Sur le chemin du retour, les rapides étaient une partie de plaisir.

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