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Die Linien von Nasca
Von Arequipa geht’s ans Meer hinunter und dann nordwaerts der Pazifikkueste entlang in Richtung Nasca. Die Landschaft hat sich geaendert, wir fahren fast den ganzen Tag durch Sand- oder Steinwueste. Nach 10 anstrengenden Busstunden haben wir Nasca erreicht und buchen sogleich eine Tour fuer den naechsten Tag. Wir wollen zu einem Aussichtsturm gehen, von dem man einige Nasca Figuren und Linien schraeg von oben sehen kann. Einzige Alternative, um alle Figuren zu sehen, ist ein Flug ueber die Nascawueste, was wir aber nicht wollen und auch ziemlich teuer ist.
Am naechsten Tag fahren wir also zu diesem Turm, sowie zu einem kleinen Huegel, von wo man ebenfalls ein paar Linien sieht. Danach besuchen wir noch das Museum von Maria Reiche, einer deutschen Forscherin, die die Linien ihr Leben lang studiert hat. Am Abend gehen wir noch in ein kleines Planetarium, wo uns moegliche Zusammenhaenge zwischen den Nascafiguren und Sternkonstellationen erklaert werden.
Die Linien in der Wueste wurden zwischen 200 und 600 Jahren nach Christus von der Nasca Kultur angelegt. Um eine Linie zu machen, wurde die oberste Steinschicht der Wueste entfernt. Die darunterliegende, hellere Sandschicht bildet so einen Kontrast zu den von der Sonne „gebraeunten“ oberen Steinen.
Tier mit zwei Haenden
Figur in der Wueste von Nasca Dank der Abwesenheit von Wind, Wasser und Erosion, sind die Linien noch heute gut sichtbar. Um 1920 wurden die Linien bei Ueberfluegen zum ersten Mal entdeckt, ihre Eigenartigkeit aber unterschaetzt. Ende der dreissiger Jahre wurde deshalb die Panamericana Fernstrasse mitten durch die Linien gebaut. Erst die Forschungen Anfang der vierziger Jahre durch Maria Reiche zeigten, wie viele und wie grosse Linien und vor allem aussergewoehnliche Figuren hier vorhanden waren. Warum die Linien von den Nasca angelegt wurden, ist bis heute nicht klar. Es gibt aber einige Theorien. Die Linien koennten benutzt worden sein, um aus der Ferne den Weg zu Wasserstellen, Huegeln und religioesen Staetten zu markieren. Die Figuren hingegen sind vielleicht deshalb nur aus der Luft zu sehen, weil die Nasca damit den Goettern zeigen wollten, dass sie es doch bitte an diesem Ort regnen lassen sollen. Die Bevoelkerung leidete unter der starken Trockenheit der Wueste. Astronomische Zusammenhaenge zwischen Figuren und Sternbildern, sowie Linien, die Sonnenauf- und untergang markieren, konnten ebenfalls gefunden werden. Vielleicht wurden die Linien auch einfach dazu benutzt, um religioese Rituale abzuhalten. Wie dem auch sei, man weiss es nicht genau. Und genau diese Ungewissheit ist das, was uns neben der Schoenheit der Figuren und der
Perfektion der Linien so fasziniert hat.
D’Arequipa nous descendons à la mer et nous suivons la côte pacifique en direction de nord jusqu’à Nasca. Le paysage a changé, nous traversons presque toute la journée le désert de pierre ou de sable. On arrive à Nasca après 10 heures en bus et nous organisons tout de suite un tour pour le lendemain. Nous voulons aller à un point de vue depuis où on peut voir quelques lignes et figures des Nasca. La seule alternative qu’on a pour admirer toutes les figures est un vol au-dessus du désert. Ceci par contre nous ne voulons pas, c’est assez cher.
Alors le lendemain nous montons la tour, mais aussi une colline depuis où on voit bien quelques lignes. Après, nous visitons le musée de Maria Reiche, une allemande qui a étudié les lignes pendant toute sa vie. Le soir on va dans un petit planétarium où on nous explique des possibles liaisons entre les figures des Nasca et les astérismes.
Les lignes ont été crées dans le désert par la culture Nasca entre 200 et 600 AD. Ils ont simplement enlevé la première couche de pierres qui est bronzée du soleil. La deuxième Panamericana Strasse
in der Wueste von Nasca couche de cailloux est beaucoup plus claire et alors bien visible. Grâce à l’absence de vent, d’érosion, et d’eau les lignes n’ont pas été détruits jusqu’à ce jour. En 1920, on découvre les lignes la première fois lors de survols du désert. Parce qu’on sous-estime leur importance historique, on construit vers la fin des années 30 la route panaméricaine au milieu des lignes. Seulement après, les études de Maria Reiche montrent la quantité et taille des lignes et surtout aussi des figures exceptionnelles. Jusqu’à aujourd’hui on ne sait toujours pas pourquoi les Nasca ont crée ces lignes, mais ils existent quelques théories. Les lignes pourraient avoir été utilisées pour marquer le chemin à des sources d’eau, des collines ou des lieux religieux. Les figures par contre étaient peut-être seulement visibles depuis en-haut pour indiquer aux dieux l’endroit où faire tomber la pluie, car le peuple souffrait de la sécheresse du désert. On peut aussi voir des liaisons astronomiques entre des figures et des constellations et des lignes qui indiquent le lever ou le coucher du soleil. Mais il se peut aussi qu’on a simplement utilisé les lignes pour des rites religieux. Quoi que ce soit, on ne le sait pas
exactement. Cette incertitude, la beauté des figures et le perfectionnement des lignes nous impressionnent beaucoup.
Die Millionenstadt Lima
Schon die Anfahrt auf Lima zeigt uns deutlich, wie gross diese Stadt mit neun Millionen Einwohnern ist. Waehrend etwa einer Stunde fahren wir durch die Vororte, bis wir im Zentrum ankommen. Wir uebernachten in einem Hotel in Miraflores, in einem der besten Viertel der Stadt. Die Stadt zaehlt insgesamt 43 Quartiere, wovon etwa die Haelfte als Armenviertel gilt. Im Zentrum von Miraflores hingegen findet man saubere Paerke, moderne Geschaefte und Restaurants, sowie eine internationale Fastfoodkette neben der anderen.
Um diese Stadt etwas zu erkunden, besuchen wir die Altstadt (einmal zu Fuss bei Tag und einmal mit einem Sightseeing Bus am Abend), einen imposanten Wasserpark, schlendern durch Miraflores und gehen zu den Klippen, von wo man einen schoenen Ausblick ueber die Pazifikkueste hat. Besonders interessant ist ein modernes Kaufhaus mit Restaurants, das direkt in die Klippen gebaut ist und deshalb eine schoene Aussicht bietet.
Nach vier Tagen Sightseeing und Nichtstun im Hotel setzen wir unsere Reise in Richtung Norden fort. Noch einmal fahren wir in die Berge, nach Huaraz in der Cordillera Blanca, wo wir noch etwas wandern gehen wollen.
Déjà l’arrivée en bus à Lima nous montre la taille impressionnante de cette ville à neuf millions d’habitants. Pendant une heure environ nous traversons les banlieues pour arriver au centre. Nous logeons dans un hôtel à Miraflores, dans un des meilleurs quartiers de la ville. Lima compte 43 quartiers, dont la moitié sont des quartiers pauvres. Au centre de Miraflores on rencontre des jolis parcs, des magasins et des restaurants modernes ainsi qu’une chaine fast-food à côté de l’autre.
Pour découvrir la ville nous visitons la vieille ville (une fois pendant la journée à pied et une fois le soir à bord d’un bus touristique), un magnifique parc plein de jets d’eau et nous nous promenons à Miraflores et en haut des falaises, depuis où on a une belle vue sur la côte pacifique. Un grand magasin avec des restaurants est construit d’une manière très impressionnante directement dans les falaises.
Après quatre jours de visite de la ville et de repos à l’hôtel, nous continuons notre voyage au Nord. Encore une fois nous allons à la montagne, à Huaraz dans la Cordillera Blanca, où nous voulons faire quelques randonnées.
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