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Le rythme de l’île est vite pris et la journée ne démarre qu’en fin de matinée, pour une balade vers un des principaux volcans, le Rono Kau, situé sur la côte sud-ouest. Le temps est au beau fixe mais pas trop chaud, ce qui rend l’ascension très agréable entre champs et forêt. Sur le chemin, une petite grotte maritime avec des pétroglyphes, des dessins d’oiseaux en l’honneur de l’homme-oiseau, voir plus loin.
A la fin du sentier, près de la route un énorme cratère rempli d’eau dont la surface est parsemée de petites touffes d’herbe, et puis sur le flanc donnant sur la mer (bon, quasiment toute l’ile donne sur la mer !), une brèche contre laquelle on entend les vagues s’écraser avec fracas. Une vue magnifique quel que soit l’endroit où l’on se trouve. Puis un peu plus en amont, au bord de la falaise, l’ancien village cérémoniel d’Orongo, qui n’était utilisé entre les 17ème et 19ème siècles que pour la période active consacrée au culte de l’homme-oiseau, au printemps. L’histoire : chaque année était désignée un homme-oiseau, au statut très envie. Comment le devenir ? Les chefs de chaque tribu désignaient un de leurs hommes pour aller chercher
sur 2 ilots et ramener à la nage, le 1
er œuf d’un oiseau qui se posait sur les ilots. Le 1
er qui ramenait l’œuf intact et réussissait à escalader la falaise de 300 mètres, offrait ainsi à son chef le titre si convoité. Et quand on voit la falaise et la force des vagues, on se dit que leur tache n’était pas facile !
Le soir, coucher de soleil dégagé sur les statues moais.
>PDJ : une journée où les histoires entretiennent les mystères de l’ile de Pâques. Moi, je ressens un petit air d’Irlande !
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