Apr 2 – Santiago-La Serena : contre-coup

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d’embarquement squatter les sièges jusqu’à l’heure du vol. Je vais arriver à récupérer, si si. Finalement, arrivée à La Serena, à 1h30 de vol au nord de Santiago au bord de l’océan, à midi. C’est là que j’ai un choc : une vraie ville, avec des voitures (qui ne s’arrêtent pas pour te laisser passer), des feux, des magasins, que ça fait bizarre. La chance est avec nous pour trouver une auberge tranquille avec patio, en plus il fait beau, un ciel bleu sans nuage, hallucinant après la Patagonie. C’est quand même bien appréciable de remettre les tongs la journée, mes pieds m’en sont reconnaissants.

Au fait, pourquoi la Serena ? Parce que c’est le point d’entrée pour visiter notamment la Vallée de l’Elqui, région du Pisco et zone réputée pour ses observatoires astronomiques, entre autres – et c’est ce que nous allons faire demain, après une nuit dans un vrai lit !

La ville en elle-même est plutôt agréable malgré un mélange architectural étrange parfois, avec de belles rues colorées.

Enfin, on a quand eu la bonne idée de vouloir aller voir le coucher de soleil sur l’océan, et en bons zombies, on s’est retrouvées dans un bus qui nous a déposées à la prochaine ville à 10km de là, aussi en bord de mer, mais trop tard pour le coucher de soleil. Vivement qu’on rentre et qu’on reprenne tout à zéro !

>PDJ : dur dur se sortir de sa petite bulle ‘nature’ et des grands espaces patagoniens

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