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Published: December 8th 2009
Voila un mois pile poil que nous sommes arrivés en Bolivie, le 5 novembre, après notre merveilleux trip dans le Panthanal, direction la gare de Quijarro pour prendre le train de 16h, appelé "el tren de la muerte", qui cela dit en passant était fort confortable, cette allusion était peut-être dû au fait qu'il mettait 17h pour parcourir seulement quelques 100km, jusqu'à Santa Cruz. Il faut dire qu'il était vraiment lent et encore je pèse mes mots, si Jon ou moi d'ailleurs aurions couru à côté du train s'aurait été pareil, quoique je ne me sente pas encore capable de courir pendant 17h!!!
C'est peut-être aussi, ce qui est plu probable, dû au fait que dans les années 50, beaucoup de ces trains ont déraillés.
Bref nos 17h dans le train ont été parsemés de multiples arrêts dans de toutes petites gares, où à chaque fois des douzaines d'adultes et d'enfants rentraient dans le wagon en criant: "tamarino, tamarino, tamarino, mango, mango, mango...", em gros 17h de rire et puis aussi de grognements, car quand on se fait réveiller à 3h30 du matin avec un sac de mangues ds la tête, c'est pas la joie!!!!!
Arrivés a Santa Cruz à 9h00
du matin, une rude nuit nous ayant considérablement fatigués, nous nous sommes rendus à l'hôtel pour nous crasher, au sens propre!
Nous avons ensuite visite le centre, une des villes les plus européannisée de Bolivie ceci dit en passant, celui-ci était charmant, la place principale accueillante, les cafés agréables et les gens sympathiques, bref de quoi passer qques jours relaxants après cette folle aventure dans la jungle. Un seul bemol, le temps, la pluie nous rattrapa apres le troisième jours.
La suite de la route des pigeons voyageurs était déjà toute tracée, direction Sucre, nous arrivâmes la tête dans les nuages et surprise!!! Le soleil était de nouveau de la partie et bien décidé à nous accompagner pendant les 4 jours passés là-bas.
Sucre est une ville magnifique, toutes les maisons sont peintes d'un blanc immaculé qu'il repeignent tous les deux ans pour que la ville garde son charme si typique! Un seul hic:la pollution.
Il y faisait vraiment bon vivre et on y mangeait fort bien.
Sur place, j'ai eu l'occasion d'aller travailler une après-midi dans un orphelinat avec une française dénommée Anne, les enfants étaient tous adorables mais encore un peu jeunes pour pratiquer une pédagogie
autre que celle du jeu, dommage mon côté instit n´a pas été complètement satisfait .
Le lendemain, nous repartîmes pour Tarija, trop pressés de rejoindre Mike et Eve!!!!
Une nuit encore chaotique dans le bus pour s'y rendre, la route c'était l'enfer! Nous sommes arrivés encore une fois crevés mais heureux de pouvoir les serrer dans nos bras. Direction Patcaya, petit village d'une centaine d'habitants où ils vivent à présent avec leur chien Salto, leur chat Chantal et maintenant le petit dernier Django leur fils adoré!!!! Jvous laisse regarder les photos pour y voir plus clair.
Plein de bisous.xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
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