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Published: July 31st 2018
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Bonjour à tous,
Enfin j’ai presque passé une bonne nuit, depuis quelques temps la chaleur, et ou le bruit était une gêne. Après la première nuit à Munich, j’avais de demandé, à la "forte Madame " de la réception de changer pour une chambre sur cour, réponse ya c’est posssiBle. J’ai pu dormir, la fenêtre ouverte. Ce matin il y avait une bonne différence de forme.
Munich -Stuttgart, 220 km le gps m’indique 2 heures, pour PorschePlatz. Malgré des pointes à plus de 200, il va me falloir 3 bonnes heures. Régulièrement des travaux. Je pense qu’il passe l’autoroute à deux fois 4 voies. C’est les 2 plus gros lands d’Allemagne qui sont à relier. La sortie de Munich très rapide, les avenues sont larges, sont belles, ce qui conforte mon appréciation de belle ville. A Stuttgard, c’est pas la même chose. On a vraiment le sentiment de rentrer dans une ville beaucoup plus industrielle qu’à Munich. Munich fait plus bourgeoise, plus précieuse, plus raffinée. Stuttgart on a l‘impression d’être dans le lourd.
Stuttgart, et le Bade-Vutemberg. Le Bade-Wurtemberg près de 11 millions d’habitants, est par son importance démographique et économique le 3ème land d’Allemagne. Je pense que
c’est peut-être le land le plus intéressant à visiter, de part sa géographie avec la Forêt Noire, le Lac de Constance, et tous ces châteaux, dont Hohenzollern, que je vais aller voir demain.
Stuttgart, capitale du Bade-Wurtemberg, 630 000 habitants, et la région 2,7 millions. C’est le berceau de l’automobile allemande. Daimler (Mercedes-Benz) et Porsche se situent à Stuttgart, ainsi que le groupe Bosch. IBM et HP ont leur siège européen à Stuttgart. Ville également scientifique, près de 45% des scientifiques du Baden-Württemberg, travaillent à Stuttgart. C’est aussi la plus importante région viticole d’Allemagne avec 11 500 hectares.
N’ayant pas vue le musée BMW hier, je l’ai remplacé par celui de Porsche aujourd’hui. En n’en ayant vue qu’un seul je ne serrai pas tenté de faire de comparaison, et ne me mettrais pas à dos ni les Porschistes, ni les BMistes. Mais mais.
Hier chez BMW, en arrivant, j’ai suivi les panneaux, et le temps de le dire j’étais garé. Ce matin chez Porsche, je n’ai rien compris aux panneaux, chanceux j’ai trouvé une place dans la rue qui doit traverser une partie de l’usine. De la rue, par les fenêtres ouvertes, je voyais les fraiseuses travailler
sur les blocs moteur allu. Et ce à 200 mètres de PorschePlatz. En repartant j’ai de nouveau essayé de comprendre où étaient les parkings, sans plus de résultat. Par contre l’accueille à été tout autre. La jeune fille qui parlait français c’est fait un plaisir de m’expliquer le site.
9€ d’entrée, ici pour quelque chose, hier 9 pour rien. Je pensais que l’audio guide (en français) était en plus, pas du tout. Créé en 2009, le musée relate l’histoire du constructeur et de ses fondateurs, Ferdinand, et Ferry Porsche, depuis 1900 à nos jours. La présentation est par ordre chronologique 80 voitures sont exposées, en rotation, sur une collection de plus de 500.
C’était très agréable de ce balader aux milieux de tous ces bolides. C’est aussi un coup de jeune. Revoir tous les modèles de ma jeunesse, qui faisait déjà rêver. De réentendre parler de Jacky Ickx, Gérard Larousse, Walter Rohrl (que je pensais plus Audi). Si vous passez par Stuttgart, faite le détour. Juste un constat que les Porschistes savent mieux que moi: Depuis 1939 Porsche conserve Son style, il n’y a que de l’évolution.
Vers 13h30 je retrouve ma fournaise, le thermomètre de la
voiture indique 36º, et elle est en plein soleil. Je programme l’hôtel, je sais que j’en peux avoir la chambre à partir de midi, au moins pour une douche. Mais je me plante dans les propositions du gps entre William et whillemm, enfin je crois. Encore une ville toute en travaux et c’est 1h15 pour 15 km et arriver à la bonne adresse. Mais malgré la température, je suis quand même allé faire mon tour en ville, plus pour boire un coup que pour marcher.
Demain le dernier jours de route. Stuttgart Lyon via le château de Hohenzollern. Et une bonne chose pas réservation d’hôtel. Mon lit à moi que je vais retrouver.
À demain si vous le voulez bien.
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