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Published: September 12th 2018
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On y est depuis 4 jours. Beaucoup d’effervescence dans cette bourgade de 35, millions d’habitants. On pourrait aisément y loger toute la population du Canada qui s’y trouverait probablement très à l’étroit compte tenu des millions de kilomètres carrés dont nous disposons pour nous “épivarder”et il resterait sans doute un peu d’espace pour la croissance étant donné que nous n’atteignons toujours pas ce niveau de peuplement.
Bien sur la population “in muro” n’est que de 8millions mais si on ajoute tout le reste de la bergerie qui gravite autour communément appelé la banlieu on dénombre 27 autres millions de petits japonais qui y grenouillent emportant dans leurs sillage de petits pas une étoudissante activité quasi inhumaine.
Entré au travail au chant du coq et rarement ressorsti avant le hululement de la chouette nocturne notre petit japonais ne vit que pour son travail, il y consacre sa vie au détriment de la belle Shino qui se languit de lui et du tout petit Hirohito qui lui rendent bien son indifférence l’un lui signifiant son mécontentement en l’accueuillant avec de hurlement de samourais égorgés l’autre en l’expediant à l’autre bout de son 25 metres carré sur un matelas de fortune qui a vu
de meilleurs jours et surtout de meilleures nuits et qui git sous la table de cuisine qui sert aussi de table de salle à diner, de table à langer et les jours de grand apparat de base au temple shintoiste, religion qui guide les pas de la petite famille.
Il convient ici d’ouvrir une parethèse pour comprendre les forces internes du noyeau familial japonais. Le sexe tel que connu pratiqué et défini dans nos sociétés occidentales n’a rien á voir avec la conception japonaise de la chose. La sexe et ce qui en dècoule,la copulation, la fornication n’ont d’autre objet que la procréation qui une fois réalisée laisse pantois le pauvre male qui livré á lui même sous la table de cuisine en est réduit à chercher l’affection dans des maisons spécialisées tel ces parloirs où le laissé pour compte moyennant un léger déaboursé (50$ de l’heure) pourra s’adonner à la conversation qui pourra prende toute sorte de tournure à condition qu’elle ne s’accompage pas de gestes accentuant le propos car si un tel égarement devait se produire l’ esseulé serait expulsé manu militari sans autre avertissement.
Bien sur pour les cas extrèmes où il convient de faire “sortir le
méchant”il faudra faire appel à une bonne vieille péripatéticienne ou pour les ignares une gidoune tout ce qu’il y a de plus fardée pour épancher le malheureux.
Mais si le comportement affectif des males japonais intriguent celui des femelles ne surprend pas moins puisqu’elle s’adonne aux mêmes penchants. Bien que le mâle se trouve expulsé de la vie sexuelle de bobonne dès que le rejeton s’est pointé celle ci n’en ressent pas moins le besoin de retrouver l’affection perdue et comme son partenaire celui de renouer avec le batifolage gratuit ,entendons par la la baise sans l’objectif prédéterminé de fabriquer un lardon.
Aussi comme leur semblables jeunes et vieilles fréquenteront la plus part du temps ces hauts lieux de la conversation ou un ado attardé aux cheveux fadasses et la lippe concupiscente lui servira à volonté les pires inepsies romanesques histoire de lui remonter le pendule avec des” vous ne pouvez pas savoir l’effet que vous pouvez avoir sur un jeune homme comme moi”
“Votre regard m’ébloui”
“Dans vos yeux je vois la mer”(he dis l’enfoiré tu charris pas un peu elle a les yeux noirs comme du charbon??..la mer…..non mais)
“Vous savez que vous ne faites pas votre âge”
Pourtant quand on regarde tout ce grouillement et cette promiscuité on peut se demander pourquoi ce peuple est aussi froid et distant et ne montrent ses émotions qu’aux enterrements et aux mariages en arborant la même mine? Y aurait-il une ressemblance entre les deux?
Ou serait-ce un manque d’imagination?
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