Nous arrivons à Cuenca après 5 heures de bus un peu chaotiques. Dans l’ensemble, l’état des routes est correct en Equateur, mais il y a des travaux partout, donc des trous énormes dans le macadam, et quelques quarts d’heure d’attente pour régulation alternée du trafic. Le changement est radical après la Sierra du centre plus authentique ; nous sommes dans une ville hétéroclite, les touristes y sont nombreux, les boutiques nettement plus « occidentales », l’ambiance calme et sereine, et les rues… propres. Difficile à dire, mais notre regard d’occidental reste perplexe face à un certain décalage. D’un côté, les équatoriens montrent une certaine conscience écolo, ils trient les déchets, récupèrent l’eau de pluie et ne jettent pas de papier dans les toilettes, et de l’autre, les poubelles inondent les villes et les campagnes, qui peuvent
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