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Published: September 23rd 2016
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T’est en Afrique « ciarge »
Il ya très longtemps que n’avions fait un voyage aussi dépaysant. Il s’agit bien de l’Afrique, de l’Afrique noire, une terre abimée, toujours au bord de la sécheresse, qui rend au compte goute la semence que péniblement les hommes lui injecte. Mais voilà, sans eau la terre ne rend rien et par surcroit cette terre elle est pauvre. Il lui faudrait des engrais riches en apports de toute sorte,des systèmes d’irrigation moderne et surtout une nature plus généreuse. Il est certain que les animaux sauvages, ceux qui sont à l’origine de notre déplacement, en souffrent, c’est ce qui explique les grandes migrations qui déplacent des centaines de milliers de bêtes en quête d’eau et d’herbe grasse.
Ils étaient cependant au rendez vous dans la savane du parc Tarangire. On ne s’attendait qu’aux éléphants circulant sous les baobabs qu’ils déplument copieusement et dont ils arrachent l’écorce.Se déplacant en famille,maman devant suivie des petits derniers qui ne cherchent qu’à jouer et à téter se faufilant entre les pattes de « mom » au risque d’enfarger toute la famille qui déambule la majeure partie de la journée à la recherche de nourriture qu’il consomme
en quantité phénoménale. C’est qu’ils sont énormes ces pachidernes; il leur faut un peu plus qu’une poignée de bananes et un arbre ou deux pour déjeuner. Ces mignons consomment des forêts entières,mais voila, des forêts il en reste chaque jour un peu moins; là oú la civilisation avance la forêt recule dit-on,alors nos mastodontes voient leur habitat naturel se rétrécir un peu plus chaque jour.
Ce manque à manger ne s’applique pas qu’aux seuls éléphantsmais à toutes ces magnifiques créatures que nous avons pu admirer. Une bonne partie de la faune africaine a défilé devant nous hier faisant étalage de plumes, de pelages et de fourrure des plus divers: des élégants impalas (rien à voir avec la ferraille du même nom des années 60) aux pugnaces gnous, en passant par les zèbres, ceux dont les rayures vont de la queu au museau et dont les pattes n’ont pas décolorés au lavage, des girafes, des antilopes géantes des buffles, des autruches,des vautours, une myriade d’oiseaux affichant un plumage à faire baver un grand chef sioux,mais ni crocodile ni tigre???? (quoi y en pas en Afrique!..!, des crocodiles oui de dire ma Sonia de blonde mais pas de tigre »wrong environment
» Comprend pas, pourquoi faut-il être aussi tatillon et précis, pourquoi on peut pas faire comme dans les romans et inventer un peu,personne ne nous tiendra rigueur de fair voyager la faune, d’ailleurs qui nous dit que les tigres n’aimeraient pas rendre visite à leurs copains les lions, histoire de rafiner leur technique de chasse :dis de dire le tigre, l’antiloppe tu l’atrappe par la queu ou par les pattes? Sais pas de répliquer le roi de la jungle c’est bobonne qui chasse, moi je me repose et quand elle revient avec la proie je découpe et je distribue. Ce qui m’ammène à vous relater notre rencontre avec sa magesté qui lors de notre passage somnelait sous un baobab en compagnie d’un pote. Vous dis pas, ces deux fénéants ont à peine bougé surtout le pote qui évaché sur le dos les quatres fers en l’air n’avait rien de royal. En fait si nous n’avions pas remarqué sa crinière abondante et son allure très mâle,nous aurions pu nous méprendre, sa position lacive laissant imaginer un scénario beaucoup plus scabreux. Mais qui sommes nous pour juger des tendances de sa magesté,elle a bien le droit de préférer son pote à
bobone, d’ailleurs elle ne serait pas la première et certainement pas la dernière
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SeaRoss
SeaRoss
Real pics
The animals really look real. How about bring back a small cub. Nice pictures keep them coming in.