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Published: September 11th 2014
Le trek dans la poussière à la Chapada Diamantina est derrière nous et nous décidons de nous offrir notre premier hôtel « grand luxe » du voyage dans la charmante petite ville d’Olinda ! Après presque deux mois de backpack, nous profitons d’autant plus de cet hôtel superbe où nous ne sommes pas obligés de garder nos tongs dans la douche !
Olinda est une petite ville magnifique, serpentée de ruelles de maisons de toutes les couleurs et où nous goûtons la caipirinha la plus assassine de tout le voyage et où nous célébrons la 8ème chose perdue par Armand…logique, nous voyageons depuis 8 semaines !
Nous sommes également à 15 minutes de Recife et y découvrons avec bonheur le grand marché San José… Nous avons probablement regardé et négocié tout ce qu’on peut trouver là- bas ! Qu’a-t-on acheté…suspens !
Escale suivante : la merveilleuse cote de Praia da Pipa et sans doute une des plus belles plages que nous ayons faites depuis le début du voyage avec son sable blanc et ses roches ocres ! Un hostel trèèès tranquille où les surfeurs du matin roupillent tranquillement l’après-midi dans les hamacs sur fond de Bob Marley. Pendant
qu’Armand affine sa technique de pêche (fil à étendre le linge équipé d’un bas de ligne lesté d’un gros caillou : «le gâteau au dulce de leche comme appât pour ce type de poissons, ça va forcément cartonner...! »), Tipha ne quitte plus son bouquin car « c’est le moment le plus important du livre ! ». Bref, il fait vraiment bon vivre dans le Nordeste brésilien !
Et enfin, nous passons par Fortaleza où, après une petite balade le long de la plage et au marché central, nous retrouvons Martin et Ana. La soirée de retrouvaille dans les rues bondées, accompagnées de cocktails incroyables, est tout simplement géniale.
NB : la séance de pêche, malgré la technique utilisée idéale pour le coin, s’est avérée infructueuse. Voici l’explication : gâteau au dulce de leche peu consistant, donc d’une durée d’utilisation très courte dans l’eau ; marrée déjà haute au début de la séance ; et/ou la malchance d’Armand…
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PapaPIOT
non-member comment
La peche encore et toujours
Comme c'est rasurant de constater que chez les Delbraque, ni la latitude ni la longitude n'influent sur la performace en matière de peche. Seuls les explications changent pour un résultat heureusement toujours constant et pérenne !