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Published: December 13th 2008
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EN FRANCAIS PLUS BAS MORE PHOTOS HERE As soon as we set foot in Jean's place in Noumea, we were off again to party. Jean's girlfriend is a couples dancing aficionada and we hopped all evening from rock'n roll to swing, salsa, waltz, tango and whatever else, genuinely undisturbed by our total ignorance of the conventional steps, and fully enjoying making total fools of ourselves on the dance floor. Sunday was as the Lord had intended it to be: a day for resting, napping, uploading photos, eating croissants at 3pm and doing nothing. Well, yes, we did pack for the mystery trip to a mystery island that Chris had arranged, and quite efficiently at that: 7 bags of all sizes for 3 days and 2 people (for the record, I travel for one year with one 50-liter backpack and a handbag).
In spite of the weather forecast staff strike (an occurence seemingly as frequent as a traffic light turning red), we arrived safely in Lifou, and spent the rest of the cloudy day driving up and down the same road, incidentally a very pretty road, in search of food. Now, that may sound like an easy task, frequent enough not
to mention it in a blog, but it was actually some sort of a mission on a Monday afternoon in the sleepy little Pacific island (ever wondered why it's called the Pacific? I don't anymore). Well, restaurants were closed at 1pm, and so were most of the shops. OK, so maybe it was siesta time, or there was a strike or something. Eventually we did find a shop that looked open and had a big sign announcing "Food and Fresh Produce." It did not, however, have anything to sell. When asked if they would receive a delivery anytime soon, the friendly manager's answer was "Mmm... No, I don't think so." Scratching our heads and laughing, we went back to the little town's supermarket and ended up having a hearty picnic by a clear turquoise bay. In the evening, we did not even bother to look for a restaurant, luckily for us as we had the pleasure to dig into more-than-delicious coconut crabs, artfully prepared by our lovely host Jeanette--a real treat.
Tuesday morning, while Chris was going for his no less than 7th introductory dive (I kid you not, you can ask him if you don't believe me), I
found myself in the most magical, surreal, unbelievably beautiful underwater gardens... I was so thouroughly awed that I went through my air twice as fast as I should have. The visibility was more than 30m, and even Chris snorkeling on the surface could see the many sharks, rays, barracudas, parrot fish and heavily populated rainbow-colored coral reefs. Words are lacking to express the feelings I experienced 20m below the surface, and my camera is not waterproof, so I have but my vivid memories and that swell in my chest when I think of these underwater moments. Truth is, our planet is the most beautiful thing, no doubt. Sunset on the beach that evening only confirmed it once more...
Chris was flying back to France on Wednesday evening, so to be safe (the strike was still going), we returned to Noumea in the morning, leaving us the time to share capuccinos and a postcard-writing session at the terrace of a seafront cafe before saying goodbye. To end my French escape in style, on my last two days I went for the best snorkeling and second-best diving in my life at l'Ilot Canards and Phare Amedee respectively, before flying back to
Australia (what? again?), to Sydney this time, for much more urban adventures.
Ca déchire du crabe de cocotier!
A peine avons-nous mis les pieds chez Jean à Nouméa, nous voilà partis pour une soirée. L'amie de Jean est une fan de danses en couple et nous avons sautillé toute la soirée de rock and rolls en swings, salsa, valse, tango et autres, sans être aucunement troublés par notre ignorance des pas conventionnels, en prenant un plaisir sans réserve sur la piste de danse. Dimanche a été le Jour du Seigneur, tel qu'Il l'avait entendu : un jour de repos, à faire la sieste, charger des photos, manger des croissants à 3 heures de l'après-midi, et ne rien faire. Bon, on a quand même fait les bagages pour le mystérieux voyage vers une île mystérieuse que Chris avait organisé, et efficacement : 7 sacs de toutes tailles pour 3 jours pour 2 personnes (a toutes fins utilesl, je rappelle que je voyage pour un an avec un sac à dos de 50 litres et un sac à main).
Malgré la grève des météorologues (qui arrive avec à peu près la fréquence à laquelle revient un
feu rouge), nous sommes arrivés sains et saufs à Lifou, et nous avons passé cette journée nuageuse a parcourir la meme route de haut en bas, une fort jolie route d'ailleurs, à la recherche de vivres. Et ça peut paraître une tâche aisée, assez fréquente pour ne pas la mentionner dans un blog, mais un lundi après-midi sur cette petite île du Pacifique somnolente, c'etait vraiment une mission (vous vous êtes déjà demandé pourquoi le nom Pacifique ? moi, je ne me pose plus la question). Bon, les restaurants etaient fermes à 13h, et la plupart des commerces aussi. Ok, c'était peut-être l'heure de la sieste, ou il y avait une grève, ou autre chose encore. Nous avons fini par trouver une boutique qui avait l'air ouverte, avec une enseigne "Alimentation et produits frais". Mais il n'y avait rien à vendre. Quand on lui a demandé s'il recevrait prochainement une livraison, l'aimable gérant nous a répondu "Mmm…Non, je ne pense pas". C'est en se grattant la tête et en éclatant de rire que nous sommes revenus à la petite superette de la ville, et on a fini avec un solide pique-nique au bord d'une baie d'un clair turquoise. Dans la soirée, nous n'avons même pas essaye de chercher un restaurant, car le plaisir de déguster de délicieux crabes des cocotiers préparés avec art nous attendait chez notre adorable hôtesse Jeannette - une vraie gâterie -.
Mardi matin, alors que Chris partait pour sa 7ème plongée d'initiation (sans blague, vous pouvez lui demander si vous ne me croyez pas) je me suis trouvée dans des jardins subaquatiques des plus magiques, surréalistes, d'une beauté hallucinante. J'étais tellement fascinée que j'ai utilisé mon air deux fois plus que je n'aurais dû. La visibilité était à plus de 30 mètres, et même Chris qui était avec son tuba en surface pouvait voir les nombreux requins, raies, barracudas, poissons-perroquets et les récifs de corail aux couleurs d'arc-en-ciel abondamment peuplés. Les mots me manquent pour exprimer ce que j'ai ressenti à 20 mètres sous la surface, et mon appareil photo n'est pas submersible, aussi ne me reste-t-il que mes souvenirs, intenses, et cette dilatation dans ma poitrine quand je repense à ces moments sous l'eau. La vérité, c'est que notre planète est ce qu'il y a de plus beau, pas de doute. Le coucher de soleil sur la plage ce soir-là n'en était qu'une confirmation de plus…
Chris repartait pour la France mercredi soir, aussi, pour plus de sécurité (la grève continuait), nous sommes retournés à Nouméa le matin, nous accordant le temps de prendre des capuccinos et de faire une séance d'écriture de cartes postales à la terrasse d'un café en front de mer avant de se dire au revoir. Pour terminer mon escapade francaise en beaute, je suis allée à l'Ilot Canards et au Phare Amédée, où j'ai eu droit à ma meilleure séance avec tuba, et la deuxième meilleure plongée de ma vie, avant de repasser par l'Australie (quoi, encore ?), mais à Sydney, cette fois, pour des aventures beaucoup plus citadines.
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Marie
non-member comment
MMMMMMmmmmmmm!!!!!
Que delicioso se ve ese coconut crab!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!