Mardi 16 septembre 2008 - Parc Mont-Orford

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Réveil hyper matinal, presque avec le lever du soleil. Nous ne tenons plus en place. Il ne fait pas très chaud mais le soleil brille. Oliv se met en tête de tester la douche extérieure du camping car. Efficace mais la température extérieure est relativement fraîche. Mick fera de même quelques minutes plus tard (brrrr ça ravigore).

Nous partons en rando pour une petite dizaine de kilomètre alors que Gérard, Kat et Clément prennent le temps et feront une balade plus courte au bord du lac. Mais nous c’est direction le pic de l’ours sur la montagne à 730m d’alitude (oui, ici 730m = montagne). La fôret est calme comparée à d’autres latitudes. Après avoir emprunté un chemin relativement pentu (en fait oui, 730m = montagne :-)), nous atteignons un superbe point de vue sur le parc. Ce dernier est très valonné et les érables commencent à changer de couleur. Que c’est bon et grisant de pouvoir voir aussi loin que l’horizon. L’air est frais et sans bon la montagne, comme en Suisse.

Et les talkies fonctionnent car on arrive à communiquer sans trop de soucis avec Kat, Gérard et Clément.

Une tartine de pain de mie au fromage fondu (l’Amérique, l’Amérique…), et on redescend. En chemin on rencontre un couple de québecois bien bavard, sympa et généreux en conseils.

Cet après-midi nous allons visiter Magog, la ville la plus proche qui est en bordure du lac Memphrémagog. Lac qui habriterait dans ses profondeurs un énorme monstre sous-marin. On a bien cherché mais on a rien vu J. La petite ville est très sympathqiue et compte quelques maisons en bois. Et un magasin de vélo où il faudra revenir pour demander s’ils n’ont pas le modèle qu’Oliv cherche depuis des mois (mais non, ils ne l’auront pas et pourront commander le nouveau modèle pour le mois d’octobre … Trop tard pour nous).

Retour au parc du Mont-Orford où nous avons décidé de rester une nuit supplémentaire. Sur le chemin du retour une légère brume s’élève des lacs et suspend le temps. Nous croyons même apercevoir un castor nager.

Une fois sur notre terrain de camping nous allumons un BBQ mais il est trop tard et nous terminerons la cuisson à la poële. Mais l’événement de la soirée sera la visite d’un raton laveur. Attiré par l’odeur de cuisson et le paquet de chips rester sur la table, le rongeur n’a pas hésité à piocher dedans. Pas farouche pour un sous, le raton continuera à fouiller le terrain , à observer Oliv qui retourne la viande et finira par partir tout en continuant de renifler le sol en faisant le bruit d’un chien qui piste.

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Comments

[Caro]

Wouhouuuu c'est dément on peut vous suivre à la trace !!! Il avait l'air sympa le raton !!! Bonne route les gars, amusez vous bien (extra l'idée des talkies, vous êtes trop fort). Je regarde pour les bus ... Pump it up.