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Published: August 9th 2009
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Le 25 juillet, a notre depart de Vancouver, nous ne savions toujours pas si nous pouvions rallier la Sunshine Coast. Nous avons tout de meme reussit a attraper un vieux bus, identique a celui qu'emprunte Morgan Freeman pour rejoindre Ziwattanera dans le film "les evades" (Shawshank Redemption) et avons debarque dans un petit bled, au detour de deux chemins, ou il fallait encore faire 8 bornes pour atteindre le camping. Nous decidons alors de faire a nouveau du pouce et embarquons rapidement a l'arriere d'un pick-up, qui, a notre grande deception, s'arrete quelques centaines de metre plus loin.
En realite, les deux autochtones le conduisant - Barbara et Dave - veulent nous indiquer une superbe randonnee a effectuer, surplombant la baie vers laquelle nous nous dirigeons. Or, Barbara avait prevu de grimper le lendemain et nous proposer gentiment de l'accompagner.
Apres qu'ils nous ai deposes au camping - a 6$ la nuit, piscine comprise - nous profitons de l'apres-midi ensoleille pour jouir des bienfaits de baignades dans les lacs environnants - avoisinnant les 24°C - et dans un ocean Pacifique a 19°C.
Apres une bonne nuit de sommeil dans une atmosphere plutot clemente - temps sec et 26°C -
nous nous reveillons a 7h pour gravir la Daniel Mountain et profiter de la vue dur les fjords et les iles environnantes. C'est arrive au sommet que Dave appelle pour nous proposer de faire un tour en bateau durant l'apres-midi.
Nous acceptons donc (sous la contrainte ;-) et c'est ainsi que nous nous retrouveons a bord d'un petit bateau de plaisance a faire la tour de la baie de Pender Harbour. Durant la balade, Dave nous explique le planning des deux jours restants...
Le lendemain matin, on vient nous chercher a 8h a la sortie du camping, afin d'aller voir les rapides de Skooqumuch. Nous marchons donc a travers une foret a l'aspect quasi-equatorial durant 2h et decouvrons l'histoire de cette region aux nombreuses coupes a blanc (mise a nue du sol forestier).
Malheureusement, la maree n'etant pas importante en cette periode, la hauteur des rapides avoisine seulement les 1,20m. Mais cela n'en reste pas moins impressionnant a observer.
C'est lors de notre retour que nous decouvrons une "bakery" perdue au milieu de la foret ; nous nous arretons donc afin d'y deguster une ou deux gourmandises.
Apres quelques plongeons et parties de cartes, nous rejoignons Dave et Barbara
a leur domicile pour y deguster de la viande d'Orignal ("Moose" en anglais). Les discussions s'orientent tres vite vers la politique et le sport a une echelle internationnale (Lens Amstrong t'es tres lourd des fois). Suite a ce copieux repas digne d'un restaurant, nous partons en bateau voir le coucher du soleil sur le Pacifique.
Comme le lac est sur la route du retour, nous piquons une tete dans ces eaux noires et chaudes avant d'aller nous coucher.
Le lendemain matin, nous degustons avec plaisir une grasse matinee (leves 9h!) car Dave n'a seulement prevu qu'un petit tour dans un monocoque de 17m. Nous embarquons donc a 10h direction "Thormanby Island" avec ses plages de sable blanc et ses eaux turquoises.
Apres 2h de croisiere, nous plongeons pour rejoindre la plage ou nous grignontons quelques fruits et chocolats allonges au soleil.
Accompagnes par les phoques lors de notre retour, nous profitons de notre derniere soiree ensemble pour se goinffrer de burger et trinquer a notre voyage sur une terrasse.
Leves a 5h le lendemain, nous partons pour l'Hotel Lake et son eau a 24°C pour nous "rafraichir" et nous reveiller. C'est aux alentours de 8h que Dave et
Barbara passent nous chercher pour nous emmener au terminal du Ferrie situe a plus de 60km de la.
Nous ne les remercierons jamais assez pour tout ce qu'ils ont fait pour nous...
Arrives pres de Vancouver, nous nous separons en deux groupes : les uns pour dormir en ville et rentrer en France le lendemain, et les autres pour remonter Vancouver Island.
Cet instant restant restera a jamais grave dans nos memoires, car Etienne aura une fois de plus eu faux en nous annoncant : "A Londres, ca va le faire les gars, ne vous inquietez pas." (vous comprendrez bientot pourquoi...)
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anonymous
non-member comment
tin les gas j commencai a m faire du mouron pour vous, ca fesait un moment que on avai pa eu de nouvelles. quand je revois ces photo j ai presque envie de pleuré vu le temps merdique que je subit en mayenne et le genre d activité que j y exerce bon certe plus lucrative mais nettement moin captivantes-fini les 80 photos par jours.je m remonte le morale en m disan que j aurai au moin fait une heureuse : ma mastercard.sinon en france y se passe pa grand chose et comme tu l a si bien dit Robin je m suis royalement planté avec mon avion. disons que je n peut pas avoir toujours raison!