Jour 14 (9 juillet) - Santorini

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Tel que prévu, nous prenons l’autobus puis le ferry en direction de Santorini. Les îles de l’archipel ont cette configuration depuis un terrible tremblement de terre suivi d’une éruption volcanique et d’un tsunami il y a plusieurs milliers d’années. 2 volcans sont toujours actifs. 2 des îles de l’archipel sont constituées exclusivement de roches volcaniques et sont inhabités à l’exception d’un ermite qui vit seul, sans eau courant ni électricité. L’île principale est elle aussi principalement constituée de roche volcanique mais on y retrouve un peu de végétation. Les vignes poussent en bosquet pour survivre. Par contre, ça donne un vin sucré particulier.



L’autobus nous amène à l’extrémité nord de l’île à travers des routes abruptes en lacet. Lorsque que deux autobus s’y croisent, on ne pourrait pas mettre sa main entre les deux. D’ailleurs, il arrive même que l’un des deux doive reculer. C’est un chapelet d’autobus qui nous amène à la ville d’Oia. 45 minutes pour visiter, à la course. Comme dit Mario, juste de temps d’avoir un aperçu de ce que l’on manque ;-) puis retour à l’autobus, direction Thira, la capitale des cartes postales.



Au risque que vous trouviez que je me répète mais la vue est extraordinaire. Santorin est sans conteste à la hauteur de sa réputation : merveilleuse, fantastique, époustouflante mais bourrée de touristes ! On a intérêt à suivre le flot ;-)



On était sur le chemin du retour lorsque j’entends crier : «Marie-Jo». Je me retourne et aperçoit Pierre Dupont, un très bon ami de Polytechnique, sa femme Sylvie et leurs filles !!! Catherine les avait reconnus en chemin. Quel hasard ! Le monde est vraiment petit. Arrivés de Venise la veille, ils sont en Grèce pour une dizaine de jours. Malheureusement, nous n’avons pas beaucoup de temps à passer avec eux avant le départ de notre autobus. Ça a été un plaisir de les croiser.

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