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Published: July 21st 2018
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Bonjour à tous,
Une journée qui commence mal mais qui finie plus tôt bien. Lorsque j’expliquais que les polonais étaient limite gracieux, 2 exemples, hier, un peu fatigué je m’assoie à une terrasse, les serveuses passent, servent les clients il me semble les plus près du bar, moi je suis le plus loin. Au bout d’un quart d’heure je fais plusieurs fois signe, rien ne s’en passe. Je me manifeste de façon plus voyante, une serveuse me regarde, et sa réaction, les épaules tombent et elle souffle. Un bar aurait été pareil. Ce matin en quittant l’hôtel je m’aperçois de suite en montant dans la voiture que j’ai oublié mon appareil photo dans la chambre. Je retourne à la réception, j’explique à la petite réceptionniste que j’ai oublié mon appareil, bien sur en anglais. Je suis sur du vocabulaire, mais pas de l’accent. En anglais appareil photo se dit caméra, elle ne comprend rien mais lève les yeux au ciel, un air de dire ducon tu m’emmerde. Heureusement un gars est arrivé et le problème a été réglé en une seconde. L’attitude pour une grande majorité est surprenante.
C’est samedi peut de circulation, je quitte la ville sans problème,
je même le sentiment d’être en France, dans la banlieue, les enseignés, Carrefour, Auchan, Castorama, Decathlon, Ikea défilent, comme dans toutes les banlieues Françaises.J’ai pas fait 25 km sur quoi je retombe les travaux de construction d’autoroute. Je vais mettre 6 heures pour faire 300km. L’autoroute du sud un 31 juillet. L’environnent sur les 150 premiers km des travaux, des zones industrielles, et des terrains vagues. Il est 11h30, j’ai fait 170 km depuis 8h30. J’en plein le bas du dos. A croire que de partout en Pologne ils construisent des autoroutes.
J’avais prévu un stop à Kielce, plus exactement à Karczówka où il y a un superbe monastère orthodoxe, sur une colline. Je le vois de loin, et de plus près, il est tout échafaudé, je ne fais même pas le chemin pour m’y rendre. Je me dis que si la ville de Kielce me plait je passe l’après-midi, et je dors. Je n’ai pas trouvé une photo intéressante à faire dans cette ville. Je programme Kraków (Cracovie), et 110 km de plus. Je m’arrête, réserve une chambre, à 15 H, j’ai pris une douche. Dehors il fait 30º, a l’ombre, je viens de passer plusieurs heures directement
sous le soleil, dans la voiture, et comme certains le savent je n’utilise jamais la clim. Donc la douche était bien venue.
Cracovie. En tout premier lieu c’est pratiquement la ville natale de Jean Paul II. Ville de 758 000 habitants, et 1 400 000 pour l’agglomération, deuxième ville de Pologne. La variété de son architecture, gothique, baroque, renaissance est une des raisons de sa reconnaissance. La ville est restée intacte pendant la guerre. Karol Wojtyla en a été évêque, puis archevêque, avant de devenir pape en 1978. Il y a dans la ville et alentours 40 parcs. Économiquement, c’est un centre majeur pour la Pologne, le taux de chômage 4.8 y est 3 fois moins élevé que dans le reste du pays. Google, IBM, Motorola, Général Electric, hitachi, Capegemini, y sont installés. MAN, poids lourds à une usine de production. Le nombre de touristes atteint pratiquement la 10 millions annuellement.
Rien qu‘aujourd’hui, il y en a.cait des miliers. C’est la première ville où je vois une telle densité de monde. L’intérêt touristique de la ville c’est sa vieille ville. C’est la cinquième ville, plus ou moins dans le même style que je visite, pour ma part ce
n’est pas la plus intéressante, et puis cette foule. La rue Grozkta, est celle qui relie les deux pôles d’intérêt, la place Rynek Glowny, au Château Royal Wawel, qui doit faire environ 1.5 km était noire de monde. Je retrouve plus ou moins les mêmes façades, architecture, couleurs. Je n’ai plus l’effet de la découverte que j’ai eu à Tallinn, qui va rester ma préférée. Après plus de 3 heures de marche, retour à l’hôtel pour ma page d’écriture. Je suis quand même content d’être venu à Cracovie. Honnêtement je l’ai survolée. Cette ville à beaucoup de charme, c’est juste moi qui suis en momentanément blasé.
Demain, en principe un autre registre de l’histoire Oswiecim, Auschwitz.
À demain si vous le voulez bien.
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