Vous l’avez compris, les options pour rejoindre Esquel sont limitées, surtout si le premier bus pour la correspondance ne passe pas et que le deuxième est complet ! Longue journée d’attente donc, mais avant de partir j’ai pu déguster un flan au lait de chèvre fait maison, être gaga devant des chiots nés dans la nuit (souvenirs souvenirs) et échanger du vocabulaire basique argentin/français avec le petit fils des hôtes, Leo, 6 ans le jour suivant. Après s’ensuivent des heures d’attente notables dans un petit kiosko, mais ce qui était plutôt bien c’est que je n’étais jamais seule à attendre, et je me suis calquée sur l’approche des argentins qui prennent ça avec beaucoup de patience (si ce n’est pas celui-là, ce sera un autre). Et finalement, arrivée à Esquel à 22h ! Rien de perdu,
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