Beijing and the Great Wall

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Une arrivée à Beijing plutôt froide, autant niveau climat que population. Rien à voir avec Tokyo, l’ambiance y est beaucoup moins accueillante. Les chinois ne baragouinent pas un seul mot d’anglais. Trouver des personnes qui parlaient anglais à Tokyo n’était déjà pas chose facile, mais alors à Beijing forget it ! Impossible.

J’ai atterri à l’aéroport sur les coups de 18h30, pris un taxi qui m’a coûté seulement 8 euros pour 45 minutes de trajet, et qui m’a déposé dans la rue de mon hôtel, mais pas devant.. J’ai un peu galéré pour trouver avec tout mon barda sur le dos, demandé à un officier de police, et en fait, j’étais sur le point de d’arriver en face de l’hôtel qui était à 50 mètres ! Ah oui, les distances sur les cartes à Beijing, énormes !

Soit. J’arrive, me présente en face du staff, qui ne trouve pas ma réservation dans leurs fichiers, et qui, cette fois, sait construire une ou deux phrases basiques en anglais.. J’obtiens finalement ma clé. Je pose mon sac dans la chambre, redescends, book un trip pour la muraille de Chine le lendemain, mange dans le restaurant dégueulasse de l’hôtel, et retourne dans ma chambre ! Première soirée à oublier.

Le lendemain, une toute autre histoire. Une journée plutôt sympa, qui commence par la visite des Ming Tombs, puis enchaîne sur celle du Great Wall, partie Sud, à Badaling. J’ai rencontré deux suédois de 20 ans pendant ce tour, qui passent par Shanghai ensuite et se rendent en Thaïlande début décembre. Peut-être que nos routes se recroiseront, qui sait ?!

Nous avons pas mal crapahuté sur la muraille, avec des marches qui arrivent aux genoux. Mieux vaut ne pas avoir le vertige et ne pas tomber en redescendant. Ce soir, à l’heure où j’écris ce post, je suis véritablement cassé. Après une semaine de folie furieuse à Tokyo, demain, je rejoins mon auberge de jeunesse et je me repose !

Enjoy the pictures of the Great Wall !

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