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MORE PHOTOS HERE EN FRANCAIS PLUS BAS! If all my Couchsurfing experience is going to be like this, I am bracing for the very best time of my life...
Jason, my first host, was waiting for me at the airport holding a sign with my name on it. I have a good feeling about all this... The living room of his bachelor pad has a panoramic view on Table Mountain, and we start the evening drinking wine on the balcony, staring at the mountain and talking about Africa. A Mexican dinner and a hip-hop gig later, I crash on the mattress he borrowed to a neighbor for a well deserved long night's sleep...
Yesterday, I just walked around town. Capetown has a New York feeling about it: racing cars, people of all colors and clothing styles, fashionable stores, street vendors, coffee shops with busy terraces, dusty camera shops, old stone building next to modern skyscrapers... I get into what seems to be a touristy market of African stuff, and find an Ethiopian restaurant, not a whitie in sight, smells and sounds like Africa, my kind of joint for lunch... I can't even finish half of what I'm served, for a
mere 40R (about 3.50 euros...). I then catch up with Ian, a Couchsurfing artist I met in Paris, for afternoon tea, followed by a drive all around Table Mountain. It looks like the Riviera a bit, it smells like a forest and sea mist... And it's time to meet the CS Capetown crowd in a Cuban cafe then a rock club, and it sure feels just like home...
Today, I discovered Capetown has also a San Francisco feeling about it, walking around the waterfront... Not trying to compare anything. It's the smells and sights, the atmosphere and the mist that remind me of that city, bring back sweet memories.
PS: I'm not a blog geek yet, so bear with me until I figure this thing out and make it look really nice...
Si toutes mes expériences de "couchsurfing" ressemblent à ça, je me prépare à vivre le meilleur moment de ma vie… Jason, mon premier hôte, m'attendait à l'aéroport, avec un panneau à mon nom. Tout ça me semble plutôt sympa. Le salon de son appartement de célibataire a une vue panoramique sur Table Mountain, et nous commençons la soirée en buvant du vin sur
le balcon, admirant les montagnes et en parlant de l'Afrique. Un dîner mexicain et un spectacle hip-hop plus tard, je m'effondre sur le matelas qu'il a emprunté à un voisin, pour une longue nuit de sommeil bien méritée…
Hier, je me suis juste promenée en ville. Capetown me fait un peu penser à New York : des voitures qui circulent en hâte, des gens de toutes couleurs, habillés en tous genres, des boutiques de mode, des vendeurs de rue, des bistrots avec des terrasses pleines de monde, de poussiéreuses boutiques d'appareils photos, un vieil immeuble en pierre à côté d'un gratte-ciel moderne…j'arrive dans ce qui ressemblerait à un marché touristique de marchandises africaines, et je trouve un restaurant éthiopien, pas un blanc en vue, cela sent, à l'odeur et à l'oreille, que ce serait bien mon truc pour déjeuner…Je ne peux même pas finir la moitié de ce que l'on me sert, pour juste 40 R (environ 3,50 €)
Puis je rejoins Ian, une artiste, une "couchsurfing" que j'avais rencontrée à Paris pour un thé de l'après-midi ; elle me fait faire un tour en voiture autour de la Table Mountain. Cela ressemble un peu à notre Riviera, une
View for my morning coffee
These towers are such a disgrace that their architect is said to have committed suicide...odeur de forêt et mer mélangées. Puis le moment est venu de rencontrer le rassemblement des "couchsurfing" de Capetown dans un café cubain, puis un rock club, et j'ai vraiment l'impression d'être chez moi…
Aujourd'hui, j'ai découvert Capetown avec aussi un sentiment de retrouver San Francisco, notamment en marchant le long de la mer. Je ne cherche pas à comparer quoi que ce soit. Ce sont les odeurs et les panoramas, l'atmosphère et le brouillard qui me rappellent cette ville, et me ramènent des souvenirs d'impressions agréables.
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Olivier
non-member comment
Enjoy !
J'inaugure la valse des contributions farfelues et multilingues à propos de ton voyage au long cours. Photos étonnantes et commentaires piquants pour autant que je les comprenne (des bénévoles pour traduire en français la prose delphinienne ?), je voyage par procuration en cet insignifiant dimanche parisien grâce à toi. Bonne route ma grande ! PS : si tu croises un réfugié zimbabwéen au détour d'un township, sois charitable, ils morflent un peu en ce moment.