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Published: March 15th 2009
Plus on avance en Australie et plus on se rend compte de ses nombreux points communs climatiques avec..la Haute-Savoie. Disons pour simplifier que le temps que nous avons à la mi-mars (fin de l'été) pourrait être décemment comparé à un bon mois d'avril savoyard. Donc entre 15 et 20°c, gris, humide, pluvieux, et un lac léman en forme d'océan pacifique, salé et froid et légèrement plus agité que l'original...on est quoi qu'il en soit beaucoup plus proche du cliché Haut-savoyard que du cliché australien, qui veut du surf, du sun, et du sable-chaud et accessoirement du désert lorsque l'on s'écarte un peu de l'océan.
Voilà pour vous expliquer que nous nous sentons un peu déçus, notamment par le climat. Ma tentative de surf ( ne soyons pas prétentieux, c'était un body-board), s'est soldée par une quasi pneumonie. A barboter pendant une bonne heure dans un océan à 17°, vos bronches, habituées à des cieux asiatiques plus cléments font très rapidement moins les malines. Je rends donc ma planche avec une bonne heure d'avance, et à la question « alors comment c'était ? », je réponds froidement « cold ». Et la tenancière du surf-shop de me répondre aussi sec « à
bah oui mais il faut une combinaison ». J'avais cependant bien tendu la perche au moment de la location de la planche, et lourdement « mais vous êtes bien sur que je peux me jeter à l'eau comment ça, juste avec cette petite planche. » . La réponse ayant été affirmative, je m'étais dit que ça devait être mal vu de porter une combinaison pour faire du body-board.
Nos projets de surf ayant fini en snirff, nous nous rabattons donc sur du tourisme de mase ( le tourisme de mase étant le tourisme de masse opéré par le touriste de base), avec l'observation commune à 525 autres personnes de 72 nationalités différentes des mythiques « 12 apôtres ». Ajoutons à cela du camping « roots », sans eau, sans électricité, mais sans loyer, agrémenté de quelques balades dans les nombreux parcs nationaux qui jonchent la « Great Ocean Road », et épicé de quelques arrêts hyper-gastro-caloriques et vous vous ferez une bonne idée de notre quotidien.
Les balades dans les parcs nous permettent de rencontrer notre première famille de koala. L'animal est sympathique, mou et franchement idiot. En pensant à mes parents retraités de l'éducation nationale, on aurait pu l'ériger
en emblème du cancre. En fait, c'est le seul animal de tout le règne, dont le cerveau ne remplit pas toute la capacité de la boîte crânienne. Et oui, le cerveau brûlant 20% de l'énergie d'un mammifère moyen, lui, merveille de l'évolution, a jugé bon d'en réduire la taille : gros comme une noix et flottant dans un liquide encéphalique.
Achevons donc ce poste qui s'étire un peu trop au regard du manque d'électricité de ce camping, par quelques considérations morfo-gastronomiques.
Il y a 3 types de morphologies humaines en Australie : une non-australienne et deux australiennes. La première est composé des routard qui sillonnent le pays, souvent jeunes, de nationalités variées. Ils sont généralement maigres. Viennent ensuite les Australiens qui sont généralement...gros, avec deux sous-divisions : les gros sportifs et les gros non-sportifs. Les Australiens semblent être plutôt obsédés de sport, surf, jogging, muscu, vélo, cricket, football, rugby... et ça donne des gros, musclés et gras. Et puis vient la catégorie de ceux qui n'ont pas la chance d'aimer le sport et qui donc ont des formats corporelles à l'Américaine! La faute à la mal-bouffe? Sans doute! sauf que...les super-marchés sont plutôt bien fourni en tout sorte de choses
bonnes pour la santé et sont par exemple moins effrayants que ceux que l'on trouve en Afrique du Sud, en terme de rayons à junk-food. Alors quoi? Et bien très sûrement la quantité! On parle vraiment de quantité légendaire lors des lunchs. Notre gloutonnerie habituelle nous pousse à commander le méga burger du resto sous le regard éloquent de la serveuse pas franchement maigrichonne : « les deux maigrichons-là, ils pensent vraiment manger tout ça? ». Alors ce super sandwich? le sandwich le plus gros que j'ai jamais eu l'honneur s'engloutir était donc composé d'un steak ( pas haché un vrai steak...entier), une grosse tranche de bacon, un neuf au plat, du fromage, un demi-kilo de rucola, deux tomates, tout ça légèrement gâché par un surplus d'hideux ketchup. Plus grosse bouffe que junk food en fait, le tout remarquablement cuisiné! Le steak était même tendre! Et tout ça pour un peu moins de 8 €! Je crois que les restaurateurs français devraient faire un petit tour du monde, il y a que chez nous ( en tous cas en Yote, Flo me dit que les bouchons lyonnais sont encore respectables) qu'on mange mal en restant sur sa faim pour aussi
cher ! Bon, la frustration comporte en elle-même l'avantage de rester maigre.
Piiù si va avanti in Australia, più ci si rende conto di quanti punti in comune con...l'alta savoya. Per fare breve, diciamo che a metà marzo (fine dell'estate qui), il tempo somiglia a quello dell'alta savoya a aprile. Dunque tra 15 e 20 gradi, coperto, umido, piovoso, e un lago Léman a forma di oceano pacifico, salato e freddo e legermente più agitato dell'originale...siamo comunque molto più vicino al cliché dell'Alta Savoya che a quello dell'Australia includendo surf, sole e sabbia calda. E eventualmente il deserto quado ci si allontana dall'oceano.
Questo per dire che ci sentiamo unn po delusi, al meno per il meteo. Il moi tentativo a provare surf (lasciamo l'orgoglio : era un body-board), è finito con una mezza polmonita. Dopo esservi agittatii un'ora tutta nell'aqua a 17 gradi, i vostri polmoni, abituate alle acque tiepide dell'Asia, non sono proprio al loro agio. Quindi torno al negozio per rendere la tavola con almeno un'ora di anticipo sull'orario conceduto e alla domanda « allora, com'era ? », rispondo freddamente « cold ». E la titolare di lanciarmi « ma certo, ci vuole la
tutta ». Intendevo pure quello quando, al momento di noleggiare la tavola, avevo quiesto naivamente « ma siamo sicuri che posso buttarmi all'aqua cosí, solo con questa piccola tavola ? » . La risposta fù affermativa e cosí ho pensato che dovevano probabilmente prenderti in giro se dovessi fare body-board con la tutta !
Comunque, la nostra tentativa essendo caduta all'aqua, ci rivolgiamo verso il turismo di massa. Per esempio, insieme a altre 525 persone di 72 varie citadinanze, osserviamo i mitici « 12 apostles ». A questo, aggiungete del campeggio rustico, senz'aqua ne corrente ma anche senza costo, qualche camminata nei numerosi parchi nazionali lungo la « Great Ocean Road », una dose di fermate ultra-gastro-caloriche e ottenete una idea piuttosto giusta del nostro quotidiano.
Camminando nei boschi, incontriamo i primi koala. L'animale in questione è simpatico, morbido e sinceramente stupido. Se penso ai miei genitori in pensione dell'educazione nazionale, dirrei che potremmo scegliere il kaola come simbolo dell'allievo lazzarone. Di fatto, è l'unico animale il cui cervello non riempe tutta la capacità allotata del cranio. Il cervello brucia 20% dell'energia di un mammifero medio. Lui invece, meraviglia dell'evoluzione, a pensato bene di redurne le dimensioni : è grosso
(piccolo) come una noce e flotta in un liquido nutriente.
Finiamo quindi questo capitolo (che inizia a essere un pó lungo rispetto all'assenza di corrente) parlando di morfo-gastronomia.
Ci sono 3 tipi di morfologie umane in Australia : una non-australiana e due Australiane. La prima raggruppa i viaggiatori, di nazionalità varie, che girano il paese, spesso giovani. Sono generalmente piuttosto magri. Poi viene la categoria degli Australiani che sono generalmente...grassi, con due sotto categorie : i grassi che hanno un'attività sportiva e quelli che non ne hanno. Gli Australiani sembrano piuttosto fissati sulla pratica di uno sport : surf, corsa, body building, bici, cricket, calcio, rugby... e questi sono grassi e muscolosi. E poi c'è la categoria di quelli che, purtroppo, nonn hanno la passione dello sport e quelli hanno delle dimensioni all'Americana ! Colpa del cibo ? Sicuramente ! peró i supermercati sono pieni di cose sane. Allora, cos'è ? Senza dubbio la quantità ! Lunch abondantissimi ! Siccome anche a noi piace mangiare, ordiniamo il mega burger del bar. La cameriera tutt'ltro che magra, ci guarda come per dire : « ma voi due, tagliati come siete, pensate veramente di mangiare tutto quanto ? » Allora questo mega
burger ? Il più grosso che ho mai mangiato, composto da una bistecca ( non quella solita tonda che trovi nel Mac...ma una vera bella bistecca), una grossa feta di pancetta affumicata, un'uovo fritto, del fomaggio fuso, mezzo chilo di rucola, due pomodori, il tutto leggermente rovinato da un'eccesso di ketchup. Più un problema di quantità che di qualità in realtà poiché il risultato è veramente buono ! Pure la carne era tenera ! Il tutto per circa 8 € ! Credo che i chef francesi dovrebbero fare un piccolo giro del mondo. Solo da noi ( al meno in Alta Savoya visto che secondo la Flo, a Lione non è cosí male) si mangia cosí male per lo stesso prezzo (o più caro, anche) ! Ma al meno non ingrassiamo come loro.
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JRF
non-member comment
KOALA MOU
Je viens d'apprendre par Lionel que le Koala dort 2O heures par jour en raison de son alimentation ! En effet, il ne mange que de l'eucalyptus qui est hautement toxique, ce qui lui laisse deux possibilités : soit il s'agite, et ça le tue, soit il dort pour éliminer les substances toxiques, et ce qu'il a choisi de faire... Pas si bête finalement ! Sauf qu'il aurait pu manger autre chose ce con !