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Published: July 28th 2021
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• Bonjour à tous,
C’est dans des conditions un peu spéciales que je commence ce blog, dans la voiture en attendant l’embarquement, sur ma tablette (j’ai horreur de taper là dessus) connecté en Bluetooth sur mon téléphone.
Une bonne nuit, et ce matin je pète la forme. Comme la journée va être longue, en consultant le guide de la région, je vois que tout près de Bari, il y aurait deux villages intéressants à voir. Comme tous les jours le même problème la circulation, 1 heure pour me rendre au premier Besceglia, et encore 1/2 pour aller dans la vieille ville, où finalement il n’y a que la place du port qui est assez typique, belle, le reste peu d’intérêt. Trani est 10km plus loin, et toujours le même bazar, et là pour rien dans le village, mais des ruines dans la campagne trop loin, je tiens à passer un peu de temps à Bari.
Au passage je me suis fais un petit plaisir non prémédité, en foutant le bordel dans un cortège officiel. (président-ministre). Le flic qui barre la route pour laisser le cortège m'a laissé passer, pensant que le convoi était fini, et non, je
me suis retrouvé au milieu, avec des flics qui gueulaient, moi qui freinait, volontairement, leur demandant en français que ce passe t'il. J'adore faire ch... tous ces officiels à qui on réserve les routes. En France je le fais aussi, mais il y a longtemps que l'occasion ne c'était présentée.
À midi tout juste je suis bien garé, à l’ombre sur le quai près du port, à 100m de l’entrée de la cité historique. Un seul problème la température, qui avoisine les 40.
Lorsque je rentre dans la vieille ville où Barivecchia, qui se caractérise par des ruelles étroites sinueuses conçues pour compliquer l’entrée de soldats ennemis à l’intérieur.
Moi à l’intérieur j’arrive dans un autre monde, dans le monde de la belle époque du cinéma italien Cinécita des années 60. Le linge aux fenêtres, où sur une corde entre 2 façades ,les italiens et bien sur les italiennes qui parlent fort, les Vespas une caricature ne manque plus que Sophia Loren, Claudia cardinal, où Monica Bellucci, qui apparaitraient au détour d'une rue et le tableau serait complet.
Je trouve une mini placette, m’installe à une terrasse ombragée avec une illusion d'un courant d’air, et passe
un temps certain à siroter, plusieurs jus de citron à la glace pilé, et regarder vivre les italiens, relativement peu de touristes.
À 13h30, la vie s’arrête, il n’y a plus que les bars qui restent ouverts. De ces petites ruelles j’en ai vite fait le tour, j’essaie de m’aventurer un peu dans la ville, mais la chaleur a vite raison de moi. Il y a vraiment de belles choses dans Bari, et la vie paraît y être bien agréable. Par hasard je passe devant l’entrée du port, et demande au garde si l’embarquement pour Dures est bien ici. Heureusement que je fais cette démarche, il m’indique que l’enregistrement se fait 3km plus loin. C’est pourtant l’adresse que j’ai sur ma confirmation mail.
Je me repose une petite heure dans la voiture et je me dirige vers les bureaux pour l’enregistrement. Ce n’est pas 3km, mais 5, et pas d’indication je pensais que c’était l’entrée du port marchandises. Mais c’est bien ici. En 10 minute, queue comprise, tout est en ordre.
Le parking c’est environ un millier de voitures, au départ pour la Croatie, l´Albanie, la Grèce, et les bateaux doivent partir dans les mêmes horaires, vers
23h. À 18h30, lorsqu’ils ouvrent la barrière, toutes les voitures se précipitent vers ce passage. C’est une foire d’empoigne le comportement italien dans toute sa splendeur, exactement comme en scooter si il y a 1cm de libre ils forcent le passage. Autant ils peuvent être charmants, autant ai volant, ils deviennent des furies incivilisées. Malgré tout je conserve assez bien mon calme. Finalement je refais les 5 km mais cette fois en zone portuaire et à 19h30 la voiture est sur le bateau. Quand je vois comment c'est passé l'embarquement, j'ai peur pour le débarquement.
Je demande quand même si il y avait une cabine, au cas ou, réponse sold out « complet ». Je vous dirais demain comment c’est passé la nuit, avec les bruyants italiens.
Au stade où j’en suis je ne sais pas si je vais pouvoir poster ce blog ce soir, car sur Le bateau il n’y a pas de wif, mais en jonglant avec mon tel je devrais peut-être y arriver, et m joindre les photos. L’avenir très proche va nous le confirmer.
Excusez il doit y avoir encore plus de fautes que d’habitude et je n’arrive pas à faire entre autres;
les accents.
À demain si vous le voulez bien.
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