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Published: February 14th 2011
Nous voici donc attaquant la route avec notre Mazda prête à tout, cap sur l’OUEST !
Objectif : Abel Tasman National Park, via Nelson, une petite ville sur la route, plaquée à l’océan.
Distance : 194 km.
Lieu choisi pour le repos des guerriers : Motueka.
La première grande trace au volant de la nouvelle voiture a été parfaite : belle journée, belles routes, beaux paysages, conduite agréable. L’arrivée à Nelson est déjà fort appréciée, par la beauté des paysages de la côte. Et ce n’est que le début, mais on ne le sait pas encore…
Nous nous attendions à l’exclamation devant les paysages de l’Abel Tasman Park, après avoir vu plusieurs photos ou posters du lieu précédemment mais au moment des faits, le choc a tout de même été de taille !
Les couleurs qui se sont imposées à nous sont juste magnifiques ! Une eau couleur émeraude, turquoise, jade, tout convient ! Un sable orangé, unique dans le pays ! La végétation alentours toujours d’un beau vert flamboyant et le ciel bleu immaculé par-dessus le marché, juste le paradis !
C’est sûr que tout dépend de la luminosité car dès que les nuages prennent place, les couleurs
sont bien moins éclatantes… le challenge est donc de prendre une photo au moment opportun ! :o)
Encore une fois, ce pays est juste fabuleux. Les contrastes y sont tellement saisissants, c’est fou ! Sur une même terre, les paysages sont tous différents et tous splendides à la fois. Et on n’est sûrement pas encore arrivés à la fin des surprises !
Petite parenthèse : un phénomène qui nous a, plus d’une fois surpris, est la puissance des marées. Ici on distingue clairement la marée basse de la haute ! Les paysages changent passablement entre l’un et l’autre et plusieurs fois nous nous sommes exclamés de voir la différence que cela peut créer. La mer recule facilement d’1 kilomètre à marée basse, on vous laisse donc imaginer ce que ça peut donner…
Bon, revenons à nos moutons, l’Abel Tasman National Park est le plus petit parc national de Nouvelle-Zélande, protégé depuis 1942. Depuis 1993, on y a ajouté une nouvelle zone protégée : une réserve marine, située sur une portion de ses côtes, abritant entre autres une colonie d’otaries à fourrures, vivant sur la petite île de Tonga Island.
Pour approcher ces lagunes de rêves, ces
plages et criques éloignées et la faune locale, notre choix s’est vite porté sur le kayak !!!
Evidemment, une partie du parc est accessible à pied mais depuis « l’intérieur » donc aucune vision viable sur les côtes. Sinon il existe ici un réseau de « water-taxi » conséquent qui peuvent vous amener un peu partout et venir vous rechercher au passage mais bon, pas de mérite et trop « banal ».
Le kayak s’est donc imposé tout naturellement (il faut dire que dans le coin, c’est la grande mode !) et en plus, cela fera une expérience supplémentaire à vivre !
Bon, eh bien nous voici fin prêts (hum !) à tester la chose, emballés dans notre gilet de sauvetage matelassé et dans notre veste coupe-vent jaune pétant pour nous diriger, grâce à un puissant et rapide Aqua-Taxi (un petit bolide sur la mer, à moitié vertical durant sa course !, amené en mer par un gros tracteur 4x4) au point de départ.
Arrivés sur place, une bonne demi-heure de préparation et d’apprentissage est nécessaire pour avoir l’impression de gérer un minimum notre kayak biplace.
Pas franchement rassurés au moment du départ, nous voilà voguant sur l’eau, au
rythme des vagues, en pagayant fièrement mais maladroitement…
L’objectif numéro 1 : ne pas se retourner et nous retrouver face à face avec le crabe du coin, occupé à se balader au fond de la mer !! Surtout qu’il faut préciser, pour les novices comme nous, que l’on est « attaché » à notre kayak par un tissu plaqué au pourtour du trou dans lequel on est assis. Donc si on se retourne, on reste assis, mais à l’envers !
Après quelques minutes de pratique, l’exercice semble faisable. Les distances sont tout de même assez vite parcourue (bien sûr, tout est relatif, on ne dira pas ça après 2h30 de pagayage intense) et c’est une activité sympathique, être assis sur sa flotte et se balader… pas mal !
Nous sommes donc partis pour 2h30 de balade marine, faisant le tour de cette fameuse petite île où vivent des otaries et une multitude d’oiseaux divers… puis après un petit snack sur la mer, avec une tasse en verre et un petit biscuit (!), nous attaquons le dernier grand bout droit dans le « Grand Bleu » pour finalement atteindre une superbe côte où nous dînerons.
Joli effort, jolie
expérience… pas de retournement de kayaks, dommage ! Héhé… Même si on a risqué de le faire au moment où Rose s’est vue en situation d’extrême urgence, ne contrôlant plus complètement son corps… Eh oui, cela va devenir un grand classique durant notre périple : l’estomac de Rose ! Oui oui, encore lui !
Qui avait pensé que les sympathiques mouvements réguliers du kayak sur l’eau auraient eux aussi une influence sur l’estomac fragile de Mlle, qui n’a donc pas supporté la promenade et a dû abusé des courants marins pour se sentir mieux ?? …
Bon, rien de grave, une fois arrivés sur terre, tout rentre dans l’ordre.
Mais cela nous a valu par la suite un bon repos sur la plage, avec même une petite demi-heure de sommeil intense pour récupérer des émotions de la journée !
Nous ne sommes restés que 2 jours dans le coin, mais dans nos esprits cet endroit sera gravé pour longtemps. La barre est placée très haut, alors que le voyage ne fait que débuter ! La magnificence des lieux sera difficilement égalable.
Enfin, à vous de juger maintenant !
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Barms
non-member comment
Du Joli joli !
A ben dis donc le couple sportif ici ! fracnhement la classe.....ca à l'air bien l'osmose....! Vous me faite rire en jaune poussin dans votre kayak ! Ca le fait bien ! Ouais joli paysage tout ca.....ca valit le déplacement !! Bon rose et ton bibide ! fuat manger du riz et des bananes et c'est reglé ! Faut arrêter le rouge qui tâche ;-) Bien content que tout se passe bien et que vannskre met des muscles....on va pas le reconnaitre au retour ! ;-) par ici rine de 9 a part que c'est la sécheresse. mais le beau temps est là. donc ca passe..fini la grisaille dépressive. bon on a pas els pieds dans le sable mais on fait avec ce qu'on a !! bonne les aventuriers !! Salutations de Zhubrik! NIcooooooooo BArmaas