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Published: January 18th 2017
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Texte en français en dessous de l'espagnol !
Hoy decidimos ir por el Norte de la Isla, el sol esta bien presente y tendremos una temperatura que ira hasta los 22 grados !
Cesar Manrique es el hombre que hizo que esta isla sea preservada y ademas de esto dejo unas cuantas orbras en ella. La primera que visitamos sera el jardin de los cactus de las cuales las fotos hablaran solas. Yendo hasta arriba de la isla nos encontramos por sorpresa en una playa de arena blanca, contraste unico con toda la lava que se encuentra en esta isla que es la mas volcanica del archipielago... Paseen con nosotros y descubriran cosas que no conociamos tampoco nosotros y que nos gustaron !
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Après une bonne nuit, le ciel s'est tout à fait dégagé... pas un pouce de vent et une température qui ira jusqu'à 22 degrés dans la journée !
Un peu d'infos sur Lanzarote ne fera de tort à personne... Lanzarote est l'île aux volcans, la plus ancienne des Canaries. L'extrême aridité de son sol volcanique a également obligé les agriculteurs à vivre avec le déficit de pluie, et à imaginer
des formes de cultures adaptées.Un paysage agricole unique, un climat exceptionnellement doux malgré la proximité de l'Afrique.
Egalement une identité culturelle vraiment particulière grâce notamment aux oeuvres d'un artiste visionnaire nommé César Manrique... En accord avec le gouvernement local, il parvient à imposer non seulement la sauvegarde de l'architecture rurale et populaire traditionnelle, mais aussi à la prescrire dans toutes les constructions nouvelles. Résultat : des petites villes blanches idéales, sans trop de dérives bétonnières ou inesthétiques, en symbyose totale avec des paysages de rêve... Au milieu de tout cela, des créations artistiques exceptionnelles, littéralement fondues dans la nature. (Le Routard !)
Bref, nous partons ce matin vers le Nord afin d'aller visiter le Jardin des Cactus. Dans cette région dédiée à la culture de la cochenille recueillie sur les cactus, cet insecte hémipètre se nourit de l'humidité des nutriments du cactus.
Dactylopius coccus, une
espèce de
cochenille, est un
insecte hémiptère de la super-famille des
Coccoidea.
Dactylopius coccus provient de l'
Amérique du Sud tropicale et sub-tropicale et du
Mexique. Une autre cochenille originaire de la Méditerranée (
Kermes vermilio) était connue en Europe au Moyen Âge.
Dactylopius coccus est un
parasite sessile, qui vit essentiellement sur des
cactus du
genre
Opuntia, se nourrissant de l'humidité et des nutriments du cactus. L'insecte produit de l'
acide carminique qui le protège des insectes prédateurs. L'acide carminique peut être extrait du corps et des œufs de cet insecte pour en faire une coûteuse
teinture colorée rouge, le
cramoisi. Le
carmin de cochenille doit son nom à l'insecte et est en premier lieu utilisé comme
colorant alimentaire (
E1201) ou pour des
cosmétiques.
Après l'invention de pigments et de teintures synthétiques, tels l'
alizarine (fin du
xixe siècle), la production de teintures naturelles a progressivement diminué. Cependant, des affaires récentes de santé concernant les
additifs alimentaires artificiels ont renouvelé la popularité des teintures de cochenille, et la demande accrue a rendu l'élevage de l'insecte à nouveau rentable.
Vous constaterez de par les photos qu'il fallait absolument aller dans ce jardin des cactus car tellement beau !
Puis la route continue vers le Nord et on prend plaisir à s'arrêter dans les petits villages les uns plus blancs que les autres... Nous avons plaisir à découvrir les deux couleurs principales avec lesquelles les fenêtres et les portes sont peintes : les unes bleues, les autres vertes...
Une dame au marché de Teguise nous avait conseillé d'aller manger
un jour à Arrieta, à l'Amanecer... En effet si ces restaurants ne payent pas de mine, une fois assis on découvre des surprises... les prix sont bas (car la TVA ici n'est que de 7 %) mais il semblerait aussi que ce n'est pas une habitude d'exagérer les prix pour les touristes... C'est ainsi que pour une dizaine d'euros on mangera un immense poisson accompagné de ses légumes et de ses patates... Une spécialité de la région est la patate fripée... ce sont des petites p.d.terre qui ont été roulées dans le gros sel et cuites dans peu d'eau jusqu'à évaporation... C'est en effet délicieux mais j'ai personnellement pas aimé du tout les deux sauces servies en accompagnement... a chacun ses mauvais goût comme disait un de mes vieux voisin...
On continue vers la pointe Nord où nous irons au Mirador del Rio, mais heureusement en route (il fallait avoir bon oeil...) on découvre une plage qui a du être garnie ou décorée par les touristes avec les petits tas de pierres de lave... C'est très sympa car subitement on y trouve une plage de beau sable blanc... parsemée de morceaux de lave... j'ai adoré cet endroit en plus
d'admirer de belles vagues avec un océan d'une couleur sublime...
Le Mirador, il fallait le faire mais bon... au large on y voit l'Ile de la Graciosa où paraît-il il y aurait une réserve ornithologique... Dans le doute abstenons nous... car déjà sur notre île rares sont les oiseaux...
Ce sera la route de retour par après car nous avons déjà bien marché aujourd'hui et avons rempli nos yeux de belles choses... Nous vous promènerons encore demain, mais ce sera moins long et moins fatiguant car de temps en temps il faut aussi penser à spider moins....
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Annick
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des cœurs !