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Published: July 25th 2008
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un cheval à la tête dur
toute une entreprise pour faire avancer ce cheval Après un réveil par les coqs et les oiseaux qui hurlent pratiquement, nous partons à cheval jusqu’à un autre campement situé à 1 heure et demi plus loin. À cet endroit nous prenons une barque en acier propulsé par un moteur de 70 chevaux. Nous naviguons à l’intérieur de canaux et de rivières pour y découvrir toute sorte d’animaux. Les premiers sont des capivaras « sorte de gros rongeurs ressemblants à un castor sans queues » par la suite des caïmans sur la rive et sur des arbres à l’horizontal pas tellement accueillants avec leurs grandes bouches ouvertes. Sans parler des dauphins d’eau douce d’une drôle de couleur rose et gris qui se baignent dans une eau rougeâtre pratiquement opaque. Les iguanes étaient au rendez-vous ainsi que les oiseaux de proies et autres. Multiple sorte de tortues étaient là aussi pour ne nommer que ceux là.
Très belle balade instructive sans oublier que la pluie nous accompagnait de temps à autre.
Dans la barque nous étions deux groupes, des français nous accompagnaient. Nous retournons en jeep au camp pour le dîner et une sieste qui est chose courante au Vénézuéla.
Dans l’après-midi en route pour une autre balade, nous sommes
dans les plaines à la recherche d’un anaconda qui ne sait jamais montrer, nous l’avons remplacé par un tapir (sorte de gros fourmilier) c’était une femelle qui était sur le point de mettre bas, elle était loin et nous avons marché dans les champs inondés pour s’en approcher et la prendre en photo.
Superbe animal!
Notre guide nous a informé que nous avons eu la chance de voir cet animal sauvage de très près. Ce qui arrive une fois sur 10 seulement.
Par la suite nous sommes allés à la pêche, vous ne devinerez jamais, c’était aux piranhas. Guy en a pêché 7 dont 2 de grandes tailles ( 10 pouces . C’est un poisson très combatif et il ne faut surtout pas se mettre les doigts dans sa bouche au moment d’enlever l’hameçon. Vaut mieux l’assommer avant, c’est plus prudent.
De retour au camp, les cuisiniers ont préparé et fait cuire notre pêche miraculeuse.
En conclusion vaut mieux en manger que de se faire manger par eux, ils ont une belle chair blanche et un goût raffiné.
La journée était bien remplie et le dodo s’imposait, car nous sommes revenus à la belle étoile vers 19 heures.
deux males
sauvages et très excités
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